Photographes
-
Raymond Depardon : Auschwitz-Birkeneau
Exemplaire Signé / Signed Copy.
Publié à l’occasion de l’exposition au Mémorial de la Shoah à Paris du 26 juin au 9 novembre 2025.
En 1979, alors que le site du camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau entre au patrimoine mondial de l’Unesco, le photographe et réalisateur Raymond Depardon se rend sur place, où il prend de nombreuses photographies, constituant un témoignage de ce qu’il reste de cette machine de la mort.
-
Jean-Christophe Béchet : African Memories (COLLECTOR)
Édition COLLECTOR dans un Coffret Signé & Numéroté sur 30 comprenant le Livre en édition Limitée Signé avec un Tirage (24x18cm) Numéroté sur 10 & Signé.
COLLECTOR Edition in a Signed & Numbered Box Set limited to 30 copies, including the Limited edition Signed Book with a Print (24x18cm) Numbered on 10 & Signed.
Le photographe français propose un travail de jeunesse réalisé durant trois années passées en Afrique.
« Cameroun, Mali, Niger, Burkina Faso, Nigéria, Algérie… Dans cette œuvre intimement personnelle, je revisite, trente-cinq ans plus tard, mes premiers pas de jeune photographe.
Cette période intense de trois ans, que j’ai surnommée « mes années africaines », aurait pu se concrétiser dans un premier livre, il y a 25 ans… mais finalement, la plupart de ces photographies sont demeurées inédites. Quelques tirages ont circulé dans des expositions, mais la majorité est restée enfouie dans des boîtes d’archives.
« Mes années africaines » représentent 79 planches contacts et environ 2220 vues argentiques,24×36 et 6×6. Un nombre conséquent, mais finalement assez faible si on le ramène à la production actuelle en numérique où l’on réalise facilement plusieurs centaines d’images par jour.Aujourd’hui, j’ai revisité et réorganisé ces photos. Je remarque néanmoins qu’avec le temps, le statut des images évolue : certains souvenirs s’effacent tandis que d’autres s’affirment ; certaines prises de vue gagnent en puissance quand d’autres tombent dans la répétition ou le cliché. Il est essentiel de trouver le juste milieu entre le souvenir de ce passé et le désir de créer une œuvre contemporaine à partir de photos qui ont plus de 35 ans. Le défi d’African Memories est là !
Le Mali, le Niger, le Burkina Faso, des pays qui m’avaient chaleureusement ouvert leurs portes, sont aujourd’hui des territoires fermés.
De nombreux lieux fascinants (Mopti, Gao, Tombouctou, le pays Dogon, Agadès…) capturés dans African Memories sont désormais inaccessibles aux visiteurs francais ou européens. » -J.C. Béchet
-
Jean-Christophe Béchet : African Memories (Édition Limitée)
160,00€Livre en édition Limitée Signé avec un Tirage (24x18cm) Numéroté sur 10 & Signé.
Limited edition Signed Book with a Print (24x18cm) Numbered on 10 & Signed.
Le photographe français propose un travail de jeunesse réalisé durant trois années passées en Afrique.
« Cameroun, Mali, Niger, Burkina Faso, Nigéria, Algérie… Dans cette œuvre intimement personnelle, je revisite, trente-cinq ans plus tard, mes premiers pas de jeune photographe.
Cette période intense de trois ans, que j’ai surnommée « mes années africaines », aurait pu se concrétiser dans un premier livre, il y a 25 ans… mais finalement, la plupart de ces photographies sont demeurées inédites. Quelques tirages ont circulé dans des expositions, mais la majorité est restée enfouie dans des boîtes d’archives.
« Mes années africaines » représentent 79 planches contacts et environ 2220 vues argentiques,24×36 et 6×6. Un nombre conséquent, mais finalement assez faible si on le ramène à la production actuelle en numérique où l’on réalise facilement plusieurs centaines d’images par jour.Aujourd’hui, j’ai revisité et réorganisé ces photos. Je remarque néanmoins qu’avec le temps, le statut des images évolue : certains souvenirs s’effacent tandis que d’autres s’affirment ; certaines prises de vue gagnent en puissance quand d’autres tombent dans la répétition ou le cliché. Il est essentiel de trouver le juste milieu entre le souvenir de ce passé et le désir de créer une œuvre contemporaine à partir de photos qui ont plus de 35 ans. Le défi d’African Memories est là !
Le Mali, le Niger, le Burkina Faso, des pays qui m’avaient chaleureusement ouvert leurs portes, sont aujourd’hui des territoires fermés.
De nombreux lieux fascinants (Mopti, Gao, Tombouctou, le pays Dogon, Agadès…) capturés dans African Memories sont désormais inaccessibles aux visiteurs francais ou européens. » -J.C. Béchet
-
Eric Tabuchi & Nelly Monnier : AR ; Aller – Retour
Aller-Retour – AR sans N – constitue en quelque sorte un making-of de l’ARN. Mais plus qu’un carnet de voyage, auquel il emprunte surtout sa forme, l’ouvrage est le récit d’une rencontre : celle de l’image avec l’écriture, soit 120 photos et autant de textes qui forment comme un long ruban où défilent les kilomètres, les saisons, les paysages, les constructions, les fatigues passagères, les rencontres inattendues, les doutes de chacun, les émerveillements partagés.
-
Klavdij Sluban : Balkans – Transit
Ce récit raconte un long périple entrepris au printemps 1995 à travers les pays balkaniques au cours duquel François Maspero revit les scènes de barbarie de son enfance. Prix RFI-Témoin du monde 1997.
-
Patrick Wack : Azov Horizons
65,00€Le projet photographique « Azov Horizons » emprunte les coulisses méridionales du conflit russo-ukrainien afin d’offrir un regard intime, été après été, sur la période qui a précédé le déclenchement du conflit, le temps du conflit et celui de l’après-conflit.
Aujourd’hui, durant cette année charnière que sera 2025, nous publions une monographie du premier chapitre de ce projet, entamé il y a cinq ans, et qui se déploiera encore sur plusieurs années.
De nombreux changements ont eu lieu depuis mes premières images sur les rives de la mer d’Azov. C’est avec Evgeniya, ma future épouse, que j’ai découvert pour la première fois cette région du sud de la Russie, à l’été 2019. Nous avions passé deux semaines au bord de la mer d’Azov, cette petite sœur de la mer Noire, dont l’eau turquoise perpétuellement baignée de soleil et les crépuscules mauves me laissaient une impression de Californie. C’est cette lumière estivale et ces dégradés d’horizons que je me promettais de venir photographier, été après été, comme le fil formel qui guiderait ma découverte de la région. Bien qu’ayant également travaillé à l’intérieur des terres russes et ukrainiennes, c’est au bord de cette mer que je trouvais la douceur visuelle la plus à même d’entrer en contraste avec le mal qui montait. Telle est l’ambiguïté fondamentale que le projet ambitionne de donner à sentir : que sous la plage gronde la fureur et gisent les pavés qui brisent les peuples.
-
Le monde d’André Ostier ; Photographe du Tout-Paris
Cette série fait l’objet d’une exposition à la Fondation Aimé et Marguerite Maeght à Saint-Paul de Vence (France) du 22 mars au 7 septembre 2025.
Photographe français emblématique, reconnu pour ses portraits élégants et ses collaborations avec les plus grandes figures de la mode et des arts. Il a immortalisé l’élite artistique et culturelle de son époque, de Coco Chanel à Picasso, capturant avec finesse l’esprit de la haute société parisienne. Son style, alliant modernité et raffinement classique, en a fait un témoin incontournable de l’âge d’or artistique du XXe siècle.
-
Bernard Matussière : Voyages aux Pays Nomades ; L’eau, le sable et les rêves
24,50€Deux amis passionnés de voyage, l’écrivain Erik Orsenna et le photographe Bernard Matussière, explorent des régions affectées par la modernité. Leurs reportages les mènent à Cuba, au Sahel, au Bangladesh ou en Chine. Ils portent un regard croisé sur ces mondes et leurs habitants.
-
Le monde de Louis Stettner
Publié à l’occasion de l’exposition aux Rencontres d’Arles du 7 juillet au 5 octobre 2025, cet album est une référence sur Louis Stettner, artiste prolifique et inclassable.
Présentation de l’œuvre de Louis Stettner. Proche de la Photo League de New York, ce fils d’immigrants juifs né à Brooklyn fait le pont entre la street photographie américaine et la photographie humaniste française d’après-guerre. Inclassable, son œuvre dépasse le cadre de la photographie : écrits critiques, poèmes, collages, sculptures, films, entre autres.
-
Gabriele Basilico and Iwan Baan : Inspiring Cities (English Version)
Édition en anglais / English edition
Edizione in italiano : clicca qui
Y a-t-il un « made in Italy » pour la création de villes, et si oui, peut-il servir de modèle aux métropoles du monde ?
Is there such a thing as « made in Italy » when it comes to creating cities? And if there is, can it provide a model for the world’s metropolises?
Inspiring Cities est un volume fascinant édité par Fulvio Irace, qui explore le thème de la ville.
Inspiring Cities is a fascinating volume edited by Fulvio Irace, which explores the theme of the city.
-
Joseph Rodríguez : Flesh Life ; Sex in Mexico City
39,00€« Esprit, chair : à la fin la même quête, née d’une économie et d’une identité en ruine. Le signe le plus évident est la prolifération de la prostitution, une « sortie » de ce qui a toujours existé, mais furtivement. Le gouvernement a officiellement admis qu’il est impossible de freiner le commerce du sexe ; Mexico n’est pas occupée à démanteler les femmes et les hommes qui travaillent, mais à formuler des directives juridiques et sanitaires pour les travailleurs du sexe.—— Rubén Martinez
“Spirit, flesh: in the end the same quest, born of a crumbling economy and identity. The single most apparent sign is the proliferation in prostitution, an ‘outing’ of what has always existed, but furtively. The government has officially admitted that it is impossible to rein in the sex trade; Mexico City is not busy busting working women and men, but formulating legal and health guidelines for sex-workers.” —Rubén Martínez
-
Robert Adams : Cottonwoods ; photographs, and a conversation about picture-making in the American West
Publiée à l’origine par Smithsonian en 1994 dans le cadre de la série « Photographes au travail », cette nouvelle édition de Cottonwoods a été étendue et élargie.
Originally published by the Smithsonian in 1994 as a part of the series “Photographers at Work,” this new edition of Cottonwoods has been expanded and enlarged.
-
Robert Frank : Mary’s book
55,00€Édition Française : Cliquez ici.
Publié à l’occasion de l’exposition célébrant le centenaire du photographe Robert Frank (1924-2019) au Museum of Fine Art of Boston (MFA Boston) du 21 décembre 2024 au 22 juin 2025.
Published on the occasion of the exhibition celebrating the centennial of photographer Robert Frank (1924-2019) at Museum of Fine Art of Boston (MFA Boston) from December 21, 2024 to June 22, 2025.
Le livre d’artiste et la lettre d’amour de Robert Frank pour sa première épouse illustrent l’approche poétique et virtuose des livres photo qui définirait sa carrière légendaire
Robert Frank’s artist’s book and love letter for his first wife exemplifies the poetic, virtuosic approach to photobooks that would come to define his storied career.
-
Sarah Carp : Sans visage
32,00€Pendant le confinement lié à la pandémie de Covid-19, Sarah Carp photographie ses filles, leur appartement devenant un théâtre où la vie se réinvente. Lorsque le père des enfants empêche la publication des images, Sarah Carp rejoue les scènes avec d’autres enfants, mais la spontanéité n’est plus la même. À travers ce projet, elle aborde les thèmes de l’interdit, du caché et du subterfuge.
-
Olga Cafiero : Ephemeris
Publié à l’occasion de l’exposition à Photo Élysée du 28 juin au 28 septembre 2025.
Projet photographique dans lequel la photographe explore les croyances populaires et les savoirs hérités, en résonance avec l’histoire culturelle du canton de Vaud. Elle questionne les tensions entre rationnel et mystique dans des images puissantes, interrogeant le rapport au passé, à la connaissance et à l’imaginaire.
-
Beatriz Banha : Midday Moon
32,00€Cette série de la photographe portugaise Beatriz Banha parle d’une lumière qui ne vient pas du soleil, une lumière qui influence le regard et révèle de nouvelles possibilités dans l’idée de réalité. C’est sa tentative de faire remonter à la surface une dimension infra-sensible, non directement palpable. Comme si les choses éclairées par cette lumière avaient acquis une caractéristique onirique qui les déconnectait du monde réel. En même temps, il y a un sentiment constant de déplacement, de distance et d’intimité avec le monde dans sa propre orbite. Ses photographies montrent des couleurs vives, des contrastes saisissants et des ombres profondes. Ses sujets sont des animaux, des scènes urbaines oubliées, des fruits, des curiosités, etc.
This series by Portuguese photographer Beatriz Banha is about a light that does not come from the sun, a light that influences the gaze and reveals new possibilities in the idea of reality. It is her attempt to bring to the surface an infra-sensitive, a dimension that is not directly palpable. As if the things illuminated by this light acquired a dreamlike characteristic that disconnected them from the real world. At the same time, there is a constant sense of displacement, distance, and intimacy with the world in its own orbit. Her photographs show bold colours, stark contrasts, and deep shadows. Her subjects are animals, forgotten urban scenes, fruits, oddities, and more.
-
Jules Beniaya : Alger retrouvée, 1900-1940
25,00€Une soixantaine de photographies d’Alger prises par Jules Beniaya, le grand-père de Pierre-Jean Amar, dans les années 1900 à 1940.
En même temps qu’un portrait de la ville, avec ses rues, son port, sa mosquée, sa plage et ses jardins, elles révèlent celui d’une bourgeoisie épanouie et bien établie dans la société coloniale. Le photographe enquête sur le destin des personnages représentés.



















