Images plurielles
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Angélique Boudet : Space
Des photographies prises sur différents continents, du Brésil à la Finlande en passant par le Mexique et l’Italie, mises en relation avec le témoignage des astronautes et cosmonautes ayant vu la Terre depuis l’espace.
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Abed Abidat : Une Rue Les Enfants
Photographies d’enfants en train de jouer à travers le monde, dans des rues étroites, des bâtiments abandonnés ou en ruine, des terrains vagues, entre autres.
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Claire Davadie : L’abandon des lieux
La photographe retrace l’histoire douloureuse et en partie imaginée de sa famille avec des images personnelles, des archives et des cartes dessinées par son grand-père.
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Adrien Tache : Photografrika
Prises entre 2013 et 2016, des photographies de photographes de studio africains témoignant de leurs techniques et de l’évolution du métier à l’ère du numérique.
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Mathieu Do Duc : Polas Bénin
Lors d’un voyage au Bénin, le photographe s’est servi de son appareil Polaroid pour photographier des habitants et ensuite leur offrir la photographie, gagnant ainsi leur confiance et créant des moments d’échange, de rencontre et de partage.
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Grégoire Eloy : Ressac
À la suite du plan soviétique pour l’irrigation des champs de coton dans les années 1960 et de la construction du barrage de Kokaral dans les années 2000, la mer d’Aral, située entre le Kazakhstan et l’Ouzbékistan s’assèche. Entre 2008 et 2013, le photographe est allé à la rencontre des pécheurs afin de partager leur quotidien.
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Oriane Zérah : Afghanistan ; Des Roses sous les épines
Des portraits d’hommes et de femmes afghans dont les visages s’illuminent au contact des fleurs. Les clichés révèlent leur sensibilité et leur sourire, loin des images de souffrance et de violence.
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Raymond Depardon : Son œil dans ma main
Algérie 1961
Raymond Depardon, âgé de dix-neuf ans, est envoyé en reportage par l’agence Delmas dans un pays en plein tumulte – ce sont les derniers soubresauts de la guerre d’indépendance algérienne. Le jeune photographe capture à vive allure ses images ; il en réunit une centaine, saisissantes. -
Mohammed Dib : Tlemcen ou les lieux de l’écriture
Ce livre est le récit d’une enfance perdue à tout jamais qui se dit au présent, c’est un Dib-enfant qui fixe les moments ressentis et qui capte les moments enfuis.
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