Ian Stewart : Ambushed ; a war reporter’s life on the line

Photographe Stewart Ian
Livre Épuisé.

Exemplaire comme neuf.

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Livre Épuisé.
Exemplaire comme neuf.

L’expérience de Ian Stewart, reporter de guerre américain.

Ian Stewart a été le chef du bureau de l’Associated Press en Afrique de l’Ouest pendant onze mois, jusqu’à ce qu’il soit touché par balle et grièvement blessé en janvier 1999 alors qu’il couvrait la guerre civile en Sierra Leone. Stewart, un ressortissant canadien, s’est depuis rétabli de façon remarquable, sinon complète, d’une blessure à la tête presque mortelle. La douleur et le courage qui ont marqué son rétablissement sont relatés dans la deuxième partie plus courte de Stewart’s Embushed: A War Reporter’s Life on the Line, qui a été publié au Canada sous le titre Freetown Ambush et a brièvement figuré sur les listes de best-sellers non fictionnels du pays en 2002. Le La première section du livre, dans laquelle Ian Stewart discute de ses reportages sur l’Afrique, sera du plus grand intérêt pour les étudiants et les spécialistes de la communication internationale. Stewart a été affecté au poste d’Afrique de l’Ouest en 1998, après avoir passé plusieurs années en Inde, au Pakistan et au Vietnam. Il reconnaît qu’il «connaissait très peu» la majeure partie de l’Afrique de l’Ouest et admet que sa maîtrise du français, la langue officielle dans une grande partie de la région, était au mieux fragile. Au cours des mois qui ont suivi son arrivée à sa base d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, jusqu’à ce qu’il soit blessé à Freetown, en Sierra Leone, Stewart a couvert une succession de conflits vicieux qui ont généralement été peu remarqués en dehors de l’Afrique. Il présente des récits graphiques et inquiétants de la brutalité gratuite des guerres civiles africaines de la fin des années 1990 – dans l’ex-Zaïre, en Guinée-Bissau et en Sierra Leone. Ce dernier cas était exceptionnellement flagrant, gratuit et effrayant. Là, les forces juvéniles et indisciplinées du Front révolutionnaire uni ont terrorisé allègrement les civils, enlevant des enfants pour les utiliser comme esclaves sexuels et torturant d’autres victimes en amputant les mains, les bras et les jambes. Stewart note les effets pénibles du reportage sur de tels ravages – comment il a reculé impuissant, comment cela lui a fait craindre qu’il “était au bord d’une dépression psychologique complète.” Ici, Stewart aborde des questions qui ont mérité beaucoup plus d’attention de la part des journalistes et des universitaires. Quels sont les effets à court et à long terme sur les journalistes d’une telle couverture? La littérature est encore décevante sur de telles questions. Stewart, cependant, ne considère pas le sujet en profondeur, ce qui suggère un inconvénient central du livre: il tend vers la superficialité. Le rythme de Stewart comprenait vingt-trois pays. Et pourtant, les lecteurs n’ont guère plus que des aperçus sur les multiples pressions liées à l’accomplissement d’une telle mission. Stewart offre quelques aperçus sur les pressions concurrentielles et la camaraderie partagée par les correspondants internationaux basés en Afrique de l’Ouest. Il ignore l’émergence récente dans une grande partie de la région de médias d’information nationaux non officiels. Les journalistes africains – à l’exception de ceux qui sont des ficelles de l’AP – sont presque invisibles dans Embuscade. Stewart a étonnamment peu à dire sur la Côte d’Ivoire, son pays d’origine.

Ian Stewart was the Associated Press bureau chief in West Africa for eleven months, until he was shot and seriously injured in January 1999 while covering the civil war in Sierra Leone. Stewart, a Canadian national, since has made a remarkable if not-yet-complete recovery from a near-fatal head wound. The pain and the courage that have marked his recovery are recounted in the shorter, second part of Stewart’s Ambushed: A War Reporter’s Life on the Line, which was published in Canada as Freetown Ambush and briefly made the country’s nonfiction bestseller lists in 2002. The book’s first section, in which Stewart discusses his reporting from Africa, will be of greatest interest to students and scholars of international communication. Stewart was assigned to the West Africa post in 1998, after reporting several years from India, Pakistan, and Vietnam. He acknowledges he “knew precious little about” most of West Africa and concedes his command of French, the official language in much of the region, was shaky at best. During the months from his arrival at his base in Abidjan, Ivory Coast, until he was shot in Freetown, Sierra Leone, Stewart covered a succession of vicious conflicts that typically gained little notice outside of Africa. He presents graphic and disturbing accounts of the gratuitous brutality of Africa’s civil wars of the late 1990s-in the former Zaire, in Guinea-Bissau, and in Sierra Leone. The latter case was exceptionally egregious, wanton, and chilling. There, the youthful and undisciplined forces of the Revolutionary United Front blithely terrorized civilians, kidnapping children for use as sex slaves and torturing other victims by amputating hands, arms, and legs. Stewart notes the distressing effects of reporting about such havoc-how he recoiled helplessly, how it left him fearing that he “was on the brink of a complete psychological breakdown.” Here, Stewart addresses matters that have deserved far more attention from journalists and scholars. What are the short- and longer-term effects on reporters of such coverage? The literature is still disappointingly sparse on such questions. Stewart, however, does not consider the subject in much depth, which suggests a central drawback of the book: It tends toward superficiality. Stewart’s beat included twenty-three countries. And yet, readers are offered little more than glimpses about the multiple pressures of filling such an assignment. Stewart offers few insights about the competitive pressures and the camaraderie shared by international correspondents based in West Africa. He ignores the recent emergence in much of the region of nonofficial domestic news media. African journalists-except for those who are stringers for the AP-are almost invisible in Ambushed. Stewart has surprisingly little to say about Ivory Coast, his base country.

Poids 550 g
Dimensions 14.5 × 22 cm
Photographe

EAN

9781565123809

Ville

Date d'édition

Editeur

Spécifité

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ISBN 9781565123809
Langue(s) anglais
Nombre de pages 310
Reliure Relié