1ère édition tirée à 200 exemplaires.
Vos idoles sont magiques et importantes. Là où, dans ce cas, la rencontre avec la culture, le paysage, les gens et les lieux que vous avez idolâtrés peut tout aussi facilement changer ou négliger votre point de vue sur eux.
« Le paysage américain était quelque chose que je n’avais jamais vu dans les films. En tant que cinéaste itinérant, il y avait quelque chose que je devais faire. Je voulais explorer les décors de ce qui m’avait le plus inspiré. Lorsque j’ai été confronté au baron et à son paysage, l’ordre naturel des États-Unis n’était pas ce que j’avais imaginé. Pourtant, j’ai été attirée par la beauté et les personnages qui l’occupaient. Zigzaguant de haut en bas dans chaque État dans mon fourgon de 500 $ (Marissa), j’ai capturé un monde que je n’avais vu que visuellement auparavant avec une nouvelle compréhension de son apparence. »
À Idolise, c’est avoir des préjugés qui peuvent entraver une pensée claire. Enracinée dans la société et les médias, l’Amérique agit comme un grand frère de notre culture australienne. Les films que nous avons vus pendant notre enfance contrôlent l’essence même de la magie que nous croyons que le rêve américain a. Un rêve, pour la plupart des jeunes Australiens. Recherché en déménageant à l’étranger pour le faire. Le corps de travail de Joey démystifie les idées basées autour du rêve américain. Sa découverte individuelle d’une culture et d’un paysage sert de catalyseur à l’idée changeante que Joey se fait des états par le biais de ce récit.
Marissa joue le rôle d’un véhicule de transposition, tout en démystifiant lentement la vérité sur la façon dont une culture qui a tant influencé le monde extérieur pourrait être vue par un œil étranger. Se situant dans un bel espace entre le contraste et la communauté, le livre est un environnement magnifique mais sombre pour l’exploration visuelle de Joey.
1st edition of 200 copies.
Your idols are magical and important. Where in this case meeting the culture, landscape, people and places you have idolised may just as easily change or discount your view of them.
“The American landscape was something I only ever saw in films. As a film maker travelling there was something I needed to do. I wanted to explore the backdrops of what had inspired me most. When there I was confronted by the baron and run down landscape, the natural order of the U.S. was not what I had imagined. Yet, I was drawn to the beauty and the characters that occupied it. Zig zagging up and down throughout each state in my $500 van (Marissa), I captured a world I had only seen visually before with a new understanding of how it could look.”
To Idolise is to have prejudice that can hinder a clear thought. Engrained within society and media, America acts as a big brother to our Australian culture. The films we grew up watching control the very essence of magic that we believe the American dream has. A dream, for most Australian youth. Sought after by moving overseas to make it. Joey’s body of work demystifies the ideas based around the American dream. His individual discovery of a culture and landscape act as a catalyst to Joey’s changing idea of the states through this narrative.
Marissa plays as a vehicle of transposition, while slowly debunking the truth about how a culture that has so heavily influenced the outside world could look to a foreign eye. Existing in the beautiful space between contrast and commonality, the book acts as a beautiful yet grim environment for Joey’s visual exploration.