Mark Morrisroe

Première monographie d'envergure, permettant de redécouvrir les expérimentations photographiques d'une figure de la scène artistique de Boston des années 1980.

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Première monographie d’envergure, permettant de redécouvrir les expérimentations photographiques d’une figure de la scène artistique de Boston des années 1980.

Cet artiste contemporain américain (1959-1989) est connu pour ses performances et ses photographies. Sa carrière de photographe a commencé lorsqu’il a acheté un Polaroid 195 Modèle caméra Land. Il a expérimenté diverses techniques de prises de vues, notamment les surimpressions et différentes techniques de développement. On découvrira dans cet ouvrage son travail créatif et foisonnant qui documente sa vie quotidienne, la scène punk de Boston ou la vie artistique des années 80 à New York

Cette publication, réalisée à l’occasion d’une grande exposition itinérante (inaugurée au Fotomuseum Winterthur) organisée à partir du fonds Morrisroe (collection Ringier), présente de nombreuses séries inédites et rend compte de l’évolution d’une recherche esthétique, des travaux punks inauguraux aux dernières expérimentations en laboratoire dont le grain et les couleurs pâles apparaissent comme une réminiscence du pictorialisme.

L’ouvrage contient quelque 500 illustrations, plusieurs essais inédits et une biographie complète.

Le travail du photographe américain Mark Morrisroe (1959-1989) a souvent été comparé à celui de ses célèbres confrères de Boston, Nan Goldin et David Armstrong. Décédé du sida à l’âge de seulement 30 ans à New York (où il s’était installé depuis le milieu des années 1980), il a développé au cours d’une période de créativité aussi intense que brève une œuvre d’une grande diversité, empreinte d’une esthétique très singulière. Comme Goldin et Armstrong, Morrisroe a documenté le style de vie d’un cercle d’amis inspiré par la culture punk et le nomadisme, réalisant des portraits et des nus, utilisant aussi le Polaroid comme reflet du déclin de son propre corps malade. Durant les trois dernières années de sa vie, Morrisroe a multiplié les expérimentations techniques, mêlant pages de magazines pornographiques et négatifs d’images aux rayons X de lui-même ; sous la direction de Beatrix Ruf & Thomas Seelig, avec des textes de de Stuart Comer, Lia Gangitano, Teresa Gruber, Elisabeth Lebovici, Fionn Meade, Beatrix Ruf, Thomas Seelig, Frank Wagner, Linda Yablonsky, photos en noir et blanc et en couleurs.

The extraordinarily diverse work of the American photographer Mark Morrisroe has until now mostly been exhibited and discussed in connection with his famous Boston colleagues Nan Goldin and David Armstrong. Like them, Morrisroe documented his circle of friends, whose lifestyles were inspired by punk and bohemia. He finished his studies at the School of the Museum of Fine Arts in Boston in 1982, a few years later than Goldin and Armstrong. He moved to New York in the middle of the 1980s, and died of AIDS-related illnesses in 1989 when he was only 30. Mark Morrisroe’s short period of creativity in the 1980s was astonishingly productive and stands out because of its individual aesthetic. He captured his friends in painterly portraits and nude photographs; the Polaroid camera became a mirror of his own body, reflecting its illness and decay. During the three years leading up to his death he transferred his photographic experiments more and more to the darkroom, where he used pages from porn magazines and X-ray images of himself as negatives.

Published with The Estate of Mark Morrisroe

Poids 2150 g
Dimensions 20 × 26 cm
Auteur(s)

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Date d'édition

EAN

9783037641217

Editeur

Photographe

Spécifité

Ville

ISBN 9783037641217
Langue(s) anglais
Nombre de pages 512
Reliure Broché