La photographe se confronte à son traumatisme à travers trois récits plastiques. Le premier est une promenade photographiée sur le chemin entre sa maison natale et celle de son grand-père abusif. Le suivant est un album de famille où les portraits de l’agresseur sont découpés tandis que le dernier est le scénario d’une conversation qui n’aura jamais lieu entre le coupable décédé et la fillette.
Mika Sperling : Je n’ai rien fait de mal
Prix du public, Festival des Rencontres d’Arles, Prix Roederer 2022.
Dans cette enquête intime, Mika Sperling brise un tabou familial et sociétal. Avec vulnérabilité et résilience, elle se confronte à son traumatisme à travers trois récits plastiques. Des pièces à convictions, ponctuée de notes manuscrites, nous immergent au cœur de son processus de guérison. Par cette recherche formelle, elle soulève la question de la réparation à travers l’objet artistique.
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29,00€
| Poids | 750 g |
|---|---|
| Dimensions | 21 × 30 cm |
| Date d'édition | |
| EAN | 9782330194888 |
| Editeur | |
| Photographe | |
| Spécifité | |
| Ville | |
| ISBN | 9782330194888 |
| Langue(s) | français, anglais |
| Nombre de pages | 156 |
| Reliure | Broché |
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