D’Arthur à Zanzibar. Les onze dernières années de sa vie (1880-1891), Arthur Rimbaud, exilé entre Aden et le Harar, ne cesse d’y rêver. L’île aux assonances magiques, plaque tournante du commerce maritime de l’époque, illustre pour lui ce « mieux un peu plus loin » qu’il a cherché en vain sa vie durant.
Le départ pour Zanzibar, c’est alors pour Rimbaud l’ultime quête, comme le mot de la fin, le terme alphabétique de l’épuisante errance ; préface de Marie-Pierre Losfeld, poèmes de Arthur Rimbaud, photos en n.b.