En 1863, alors qu’elle est une femme d’âge mûr, Julia Margaret Cameron s’initie à la photographie. Ses aspirations artistiques et picturales la conduisent à produire des portraits de grand format, des scènes bibliques comme des scènes de genre. Photographe précurseur, par son souci constant de la maîtrise de la lumière et du flou, par l’intensité émotionnelle de ses portraits, Julia Margaret Cameron suscite, dès le début du vingtième siècle, l’admiration d’Alvin Langdon Coburn ou d’Alfred Stieglitz, et inspire très largement le mouvement pictorialiste ; introduction de Pamela Galsson Roberts, photographies en noir et blanc.
Photo Poche N° 124 : Julia Margaret Cameron
Épouse de diplomate, née en Inde, Julia Margaret Cameron se passionne pour la photographie dès les années 1850. Proche des milieux préraphaélite et symbolique, et inspirée par la peinture ancienne, elle met en scène amis et proches dans des scènes allégoriques ou mystiques. Par son utilisation du flou et du plan rapproché, elle préfigure le courant pictorialiste.Lire la suite
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Poids | 300 g |
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Dimensions | 12,5 × 19 cm |
Date d'édition | |
Auteur(s) | |
EAN | 9782742786343 |
Editeur | |
Photographe | |
Spécifité | |
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ISBN | 9782742786343 |
Langue(s) | français |
Nombre de pages | 144 |
Reliure | Broché |