Actes Sud
-
Photo Poche N° 76 : Louis Stettner
Présentation de l’oeuvre du photographe américain, qui a passé une grande partie de sa vie en France. Ses photographies représentent donc un pont entre la photographie humaniste française et la photographie de rue américaine.
-
Photo Poche N° 181: La photographie pictorialiste
Un panorama du pictorialisme à travers une sélection de photos mêlant chefs-d’oeuvre et inédits émanant de 80 photographes comme James Craig Annan, Robert Demachy, Gertrude Käsebier, Guido Rey, Alfred Stieglitz ou Clarence H. White.
-
Photo Poche N° 5 : Robert Doisneau (Nlle édition)
Robert Doisneau évoque sa carrière et sa conception technique et artistique de la photo dans un entretien. Suit un éventail de photos réalisées principalement du début des années 1940 au début des années 1960 et qui sont autant de reflets du regard attendri et malicieux de l’artiste sur l’univers de Paris et de ses banlieues.
-
Collection Bonnemaison : Panoramas ; Photographies 1850-1950
Plus de cent chefs-d’œuvre, une approche particulière de la photographie.
More than one hundred masterpieces, a special approach to photography.
Publié à l’occasion de l’Exposition PANORAMAS aux XXème Rencontres internationales de la Photographie d’Arles (France) du 3 juillet au 3 septembre 1989.
Published on the occasion of the PANORAMAS exhibition at the XXth Rencontres internationales de la Photographie in Arles (France) from 3 July to 3 September 1989.
-
Photo Poche N° 2 : Henri Cartier-Bresson (Nlle édition)
Réunit une soixantaine de photographies en noir et blanc d’Henri Cartier-Bresson (1908-2004), un des plus grands photographes français du XXe siècle.
-
Jean-Luc Bertini : Américaines solitudes
Une traversée photographique des États-Unis qui interroge la place de l’homme dans cette immensité.
« En regardant ses photos, nous devrons peut-être nous faire une idée du caractère unique des solitudes américaines en convenant, dans des termes qui ne soient pas binaires, que les nôtres n’appartiennent qu’à nous. »-Richard Ford
« In his photographs, we may have to work our way round to the uniqueness of American solitudes by agreeing, in nonbinary terms, that ours are ours. »-Richard Ford
-
Photo Poche N° 133 : Paolo Roversi
Nouvelle édition avec de nouvelles photos et un nouveau texte introductif.
Grande figure de la photographe de mode contemporaine, l’italien Paolo Roversi a longtemps été associé à l’image de Christian Dior. Sa maîtrise du procédé Polaroïd appliqué à la mode sert une vision très délicate de la femme et contribue à l’expression d’une grâce fragile qui rend son style immédiatement reconnaissable.
-
Letizia Battaglia ; Je m’empare du monde où qu’il soit
La photographe italienne, connue pour son travail sur les meurtres de la Cosa Nostra, raconte à son amie journaliste sa vie intime, professionnelle, artistique et explique le contexte politique et social dans lequel ont été pris ses clichés.
Dans la seconde partie de l’ouvrage, Sabrina Pisu évoque la photographie, le monde du journalisme italien et la mafia.
-
Jane Evelyn Atwood : Haïti (SIGNÉ)
Exemplaire Signé / Signed Copy.
Livre Épuisé / Out of Print Copy.
Exemplaire Neuf / Copy New.
Photos en couleurs prises à Haïti dans les années 2005-2007 préfacées par l’auteur haïtien Lyonel Trouillot.
-
Harry Callahan : French archives ; Aix-en-Provence 1957-1958 (Version française)
Une sélection de 130 tirages réalisés par Harry Callahan à Aix-en-Provence, de septembre 1957 à juillet 1958, reproduisant des vues urbaines, des scènes de nature et des portraits de son épouse Eleanor. Ces clichés ont été redécouverts 36 ans plus tard par l’artiste lors de sa visite des archives de la Maison européenne de la photographie à Paris, qui les a réunis sous le terme de “French archives”.
Cet ensemble inédit de cent trente tirages, réuni par le photographe sous le nom de French Archives et offert à la Maison européenne de la photographie, constitue un jalon essentiel de son œuvre.
-
Mika Sperling : Je n’ai rien fait de mal
Prix du public, Festival des Rencontres d’Arles, Prix Roederer 2022.
Dans cette enquête intime, Mika Sperling brise un tabou familial et sociétal. Avec vulnérabilité et résilience, elle se confronte à son traumatisme à travers trois récits plastiques. Des pièces à convictions, ponctuée de notes manuscrites, nous immergent au cœur de son processus de guérison. Par cette recherche formelle, elle soulève la question de la réparation à travers l’objet artistique.
-
Jean-Michel André : Chambre 207
En 1983, le père du photographe est assassiné avec six autres personnes dans un hôtel à Avignon. Ce projet photographique s’inscrit dans la veine de l’autofiction et repose sur une mémoire réinventée à la suite de ce traumatisme d’enfance.
Jean-Michel André associe des éléments d’enquête, des archives de presse et des objets familiaux à ses photographies, interrogeant la mémoire et le deuil.
-
Photo Poche N° 179 : Vivian Maier
Une sélection de clichés pris par la photographe, témoignant de son travail artistique sur les enfants, capturant leurs mimiques, leurs émotions et leurs jeux. Elle pose un regard ironique sur la société américaine. Elle s’intéresse aussi aux invisibles et aux oubliés du rêve américain. V. Maier a réalisé de nombreux autoportraits jouant avec les ombres, les reflets et les mises en abyme.
-
Sophie Calle : Finir en beauté (English Version)
Version française cliquez ici.
“Peu avant mon exposition À toi de faire, ma mignonne au musée Picasso, à Paris, un orage a causé des dégâts dans ma réserve et des spores de moisissure se sont infiltrées dans ma série Les Aveugles. Les restaurateurs se sont prononcés, il était préférable de détruire les œuvres. Seulement Les Aveugles avaient trop compté dans ma vie pour terminer la leur à la décharge. J’ai alors repensé à une idée de l’artiste Roland Topor d’inhumer un vieux chandail qu’il ne pouvait ni donner ni jeter.” Sophie Calle
Ainsi, Finir en beauté, est une exposition dans les cryptoportiques à l’occasion des Rencontres d’Arles 2024. Et cet ouvrage précieux, a la particularité d’inclure une pochette de photographies in situ que le lecteur devra positionner lui-même !
-
Sophie Calle : Finir en beauté
Version en anglais cliquez ici.
“Peu avant mon exposition À toi de faire, ma mignonne au musée Picasso, à Paris, un orage a causé des dégâts dans ma réserve et des spores de moisissure se sont infiltrées dans ma série Les Aveugles. Les restaurateurs se sont prononcés, il était préférable de détruire les œuvres. Seulement Les Aveugles avaient trop compté dans ma vie pour terminer la leur à la décharge. J’ai alors repensé à une idée de l’artiste Roland Topor d’inhumer un vieux chandail qu’il ne pouvait ni donner ni jeter.” Sophie Calle
Ainsi, Finir en beauté, est une exposition dans les cryptoportiques à l’occasion des Rencontres d’Arles 2024. Et cet ouvrage précieux, a la particularité d’inclure une pochette de photographies in situ que le lecteur devra positionner lui-même !
-
Arles 2024 ; Les 55e Rencontres de la photographie
Catalogue du festival des Rencontres d’Arles 2024 dont les expositions sont présentées du 1er juillet au 29 septembre 2024.