1ère édition tirée à 700 exemplaires.
“Il y a des endroits que vous ne pouvez pas décrire correctement, mais seulement vous rappeler, des endroits où vous ingérez des émotions, dans l’espoir de conserver leur vibration et ensuite de les partager.
Cafe Intime à Copenhague est un de ces lieux où, depuis un siècle, entre rires et tendresse, entre plaisir et surprises, les individus se croisent, se rencontrent, se retrouvent parfois et se transforment.
Sous une lumière qui devient pluie ambrée, ils nous saluent, avec leur gentillesse ils se donnent d’eux-mêmes et nous accompagnent. Ils ne savent peut-être même pas que, dans le Barrio Chino de Barcelone, il y avait autrefois un endroit appelé La Bohême, qui ressemblait à leur petit palais de la nuit. Malheureusement, il a fermé. C’était un drame réel et c’est une immense perte culturelle. Et, malheureusement, nous n’avons pas de photos, juste quelques documents, pour conserver les souvenirs de ces nuits remplies d’une infinie tendresse.
Cafe Intime, que l’on souhaite au moins cent ans de douces nuits, mérite, pour éviter l’oubli, un album photo avec et pour ses amis.” -Christian Caujolle
“There are places you cannot adequately describe but only recall, places where you ingest emotions, hoping to hold on to their vibration and then later to share them.
Cafe Intime in Copenhagen is one such place in which, for a century so far, between laughs and tenderness, between pleasure and surprises, individuals cross each other’s paths, meet, sometimes find one another and transform.
Underneath a light that becomes amber rain they greet us, with their kindness they give of themselves and accompany us. They may not even know that, in Barcelona’s Barrio Chino, there once was a place called La Bohemia, which resembled their little palace of the night. Unfortunately, it has closed. It was a real-life drama and is an immense cultural loss. And, sadly, we don’t have any photos, just few documents, to preserve the memories of those nights filled with an infinite tenderness.
Cafe Intime, which we wish at least another hundred years of sweet nights, deserves, to avoid oblivion, a photo album with and for its friends.” -Christian Caujolle
