Tsuzuki Kyoichi
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Kyoichi Tsuzuki : Love Hotel
Les Love Hotel japonais du 20ème siècle ont été caractérisés par des conceptions et des caractéristiques criardes, exagérées et bizarres. En raison de lois plus strictes et de codes moraux, les années 2000 ont été une époque où les hôtels d’amour notoires, avec leur charme rétro unique, ont rapidement disparu du paysage urbain japonais. Kyoichi Tsuzuki explore la fascination de ce patrimoine culturel persistant à travers une sélection de chambres soigneusement choisies et photographiées, guidant les curieux à travers les intérieurs très inventifs et ludiques de cette typologie titillante.
The Japanese love hotels of the 20th century were typified by garish, over-the-top, bizarre designs and features. Due to stricter laws and morality codes, the 2000s were an era when the notorious love hotels, along with their unique retro charm, were rapidly vanishing from the Japanese cityscape. Kyoichi Tsuzuki explores the fascination of this lingering cultural heritage through a selection of carefully chosen and photographed rooms, guiding the curious through the highly inventive and playful interiors of this titillating typology.
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Kyoichi Tsuzuki : Museums of Erotica
Le « Hihokan » (Musée de l’érotisme) est apparu au Japon dans les années 1960 comme un lieu de divertissement pour adultes. À l’époque, le pays connaissait un essor et une diversification du tourisme sans précédent. Les installations érotiques ont été mises en scène de diverses manières élaborées. « Hihokan » signifie « Maison des trésors cachés » en japonais – un trésor d’objets, d’artefacts et d’œuvres d’art débordant de curiosité et de créativité. Kyoichi Tsuzuki a documenté bon nombre de ces musées au fil des ans. Nous présentons ici une vaste série de photographies sélectionnées qui examinent leur attrait.
The ‘Hihokan’ (Museum of Erotica) emerged in Japan in the 1960s as a place of entertainment for adults. At the time, the country was experiencing an unprecedented boom and diversification in tourism. The erotic installations were staged in a variety of elaborate ways. ‘Hihokan’ means “House of Hidden Treasures” in Japanese – a treasure trove of objects, artefacts, and artworks brimming with curiosity and creativity. Kyoichi Tsuzuki has documented many of these museums over the years. Presented here is an extensive series of selected photographs which examines their appeal.