Actes Sud
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Mika Sperling : Je n’ai rien fait de mal
Prix du public, Festival des Rencontres d’Arles, Prix Roederer 2022.
Dans cette enquête intime, Mika Sperling brise un tabou familial et sociétal. Avec vulnérabilité et résilience, elle se confronte à son traumatisme à travers trois récits plastiques. Des pièces à convictions, ponctuée de notes manuscrites, nous immergent au cœur de son processus de guérison. Par cette recherche formelle, elle soulève la question de la réparation à travers l’objet artistique.
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Jean-Michel André : Chambre 207
En 1983, le père du photographe est assassiné avec six autres personnes dans un hôtel à Avignon. Ce projet photographique s’inscrit dans la veine de l’autofiction et repose sur une mémoire réinventée à la suite de ce traumatisme d’enfance.
Jean-Michel André associe des éléments d’enquête, des archives de presse et des objets familiaux à ses photographies, interrogeant la mémoire et le deuil.
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Photo Poche N° 179 : Vivian Maier
Une sélection de clichés pris par la photographe, témoignant de son travail artistique sur les enfants, capturant leurs mimiques, leurs émotions et leurs jeux. Elle pose un regard ironique sur la société américaine. Elle s’intéresse aussi aux invisibles et aux oubliés du rêve américain. V. Maier a réalisé de nombreux autoportraits jouant avec les ombres, les reflets et les mises en abyme.
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Sophie Calle : Finir en beauté (English Version)
Version française cliquez ici.
“Peu avant mon exposition À toi de faire, ma mignonne au musée Picasso, à Paris, un orage a causé des dégâts dans ma réserve et des spores de moisissure se sont infiltrées dans ma série Les Aveugles. Les restaurateurs se sont prononcés, il était préférable de détruire les œuvres. Seulement Les Aveugles avaient trop compté dans ma vie pour terminer la leur à la décharge. J’ai alors repensé à une idée de l’artiste Roland Topor d’inhumer un vieux chandail qu’il ne pouvait ni donner ni jeter.” Sophie Calle
Ainsi, Finir en beauté, est une exposition dans les cryptoportiques à l’occasion des Rencontres d’Arles 2024. Et cet ouvrage précieux, a la particularité d’inclure une pochette de photographies in situ que le lecteur devra positionner lui-même !
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Sophie Calle : Finir en beauté
Version en anglais cliquez ici.
“Peu avant mon exposition À toi de faire, ma mignonne au musée Picasso, à Paris, un orage a causé des dégâts dans ma réserve et des spores de moisissure se sont infiltrées dans ma série Les Aveugles. Les restaurateurs se sont prononcés, il était préférable de détruire les œuvres. Seulement Les Aveugles avaient trop compté dans ma vie pour terminer la leur à la décharge. J’ai alors repensé à une idée de l’artiste Roland Topor d’inhumer un vieux chandail qu’il ne pouvait ni donner ni jeter.” Sophie Calle
Ainsi, Finir en beauté, est une exposition dans les cryptoportiques à l’occasion des Rencontres d’Arles 2024. Et cet ouvrage précieux, a la particularité d’inclure une pochette de photographies in situ que le lecteur devra positionner lui-même !
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Arles 2024 ; Les 55e Rencontres de la photographie
Catalogue du festival des Rencontres d’Arles 2024 dont les expositions sont présentées du 1er juillet au 29 septembre 2024.
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Photo Poche N° 177 : Issei Suda
Panorama de l’œuvre du photographe japonais, présentant ses clichés illustrant le quotidien de Tokyo des années 1970 et 1980, les fêtes du folklore traditionnel et la vie quotidienne de son époque. Ses photographies rendent compte de l’évolution que connaît la capitale japonaise après la Seconde Guerre mondiale, tout en capturant sa substance théâtrale urbaine.
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Photo Poche N° 178 : Bernard Plossu
Un voyage artistique autour du photographe, à travers la présentation de certains de ses clichés reflétant son cheminement initiatique, du Mexique à l’Europe en passant par l’Afrique, où il expérimente autour de thèmes comme la route, la sensualité et l’intimité. Bernard Plossu présente son acte photographique en lien avec le mouvement, l’extériorité, les sons ou encore les odeurs.
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Photo Poche N° 166 : Sabine Weiss (SIGNÉ)
Exemplaire Signé / Signed Copy.
Une sélection de photographies de Sabine Weiss témoignant de son goût de la rencontre, de son attention à la technique et de son intérêt pour l’observation des gens, qu’il s’agisse d’anonymes ou de personnalités publiques. Elle a contribué notamment au courant de la photographie humaniste française.
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Photo Poche N° 148 : Bruce Gilden
Panorama de l’œuvre du photographe américain, membre de l’agence Magnum. De New York à Haïti, ses portraits au cadrage serré expriment l’empathie de l’artiste pour ses sujets, souvent des marginaux, et traduisent l’indépendance de son style et de son inspiration. Édition enrichie de neuf portraits en couleur réalisés depuis 2012.
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Photo Poche N° 127 : Ernst Haas (Nlle éd.)
Présentation de ce photographe d’origine autrichienne, considéré comme l’un des précurseurs de la photographie couleur formelle où l’abstraction et le mouvement tiennent une grande place. Entré en 1950 dans la jeune agence Magnum, il collabore ensuite avec le magazine Life dont il devient la vedette.
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Photo Poche N° 165 : Helen Levitt (Nlle éd.)
Une sélection de photographies prises par la photographe américaine rendant compte de ses sujets d’intérêt : les jeux des enfants dans la rue, la coexistence, heureuse ou conflictuelle, des minorités ethniques dans le Brooklyn de son enfance ainsi que dans le Lower East Side et les quartiers Nord de Manhattan.
Helen Levitt (1913-2009) a capté la vitalité de l’aire de jeu que forment les quartiers populaires de New York.
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La photo en question
Des conseils pour apprendre à analyser les images et se poser les bonnes questions en les regardant, comme repérer des clichés truqués.
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Francesca Woodman
Livre Épuisé / Out of Print Book.
Exemplaire état Neuf / Copy as New.
Publié à l’occasion de l’exposition à la Fondation Cartier à Paris (France) du 11 avril au 31 mai 1998.
Published on the occasion of the exhibition at the Fondation Cartier (France) from 11 April to 31 May 1998.
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Jean-Pierre Sudre
Premier ouvrage important présentant un large choix de natures mortes et de photogrammes de Jean-Pierre Sudre.
Depuis les images des bois de son enfance (1948), jusqu’aux séries récentes – “Imaginaire planétaire”, “Natures mortes”, “Paysages matériographiques” et “Matières cristallines” –, l’œuvre photographique de Jean-Pierre Sudre reste à découvrir dans sa singularité et sa diversité.