“Se réveiller à Candyland était comparable à se réveiller d’un rêve dont on n’était pas tout à fait sûr. Le cabinet de têtes de poupées au pied de l’escalier quand vous êtes allé au lit avait maintenant grimpé de trois sauts pendant la nuit. Le mannequin de la boutique qui accueillait les invités par la porte d’entrée était maintenant placé directement à l’extérieur de votre chambre. Un disque de Billie Holiday qui avait été commencé à un moment donné pendant la nuit sautait maintenant à plusieurs reprises quelque part dans l’une des chambres, il ne semblait pas déranger qui que ce soit. La maison a bougé dans la nuit.
Son aimable encouragement envers moi et les autres jeunes pour qui il a fourni une maison était un geste aussi précieux que la maison elle-même. » Brett Lloyd ; essai « Candyland de David Armstrong » par Brett Lloyd
“Waking up in Candyland was comparable to waking up from a dream you were not quite sure you were out of. The cabinet of dolls heads at the foot of the stairs when you went to bed had now climbed up three flights during the night. The shop mannequin that greeted guests by the front door was now positioned directly outside your bedroom. A Billie Holiday record that had been started at some point during the night was now skipping repeatedly somewhere in one of the rooms, it didn’t seem to be bothering anyone. The house stirred in the night.
His gracious encouragement towards me and other young people who he provided a home for was as valuable a gesture as the house itself.” Brett Lloyd ; essay “David Armstrong’s Candyland” by Brett Lloyd