« Celui qui l’a essayé ne voudra rien faire d’autre », a déclaré le photographe français Albert Londe après avoir utilisé pour la première fois l’autochrome, le processus révolutionnaire de la photographie couleur sorti en 1907. Inventé par les frères Lumière, l’autochrome a rapidement été adopté par tous les milieux de la communauté photographique, notamment par le pictorialiste américain Alfred Stieglitz, qui a proclamé que « bientôt le monde sera fou de couleurs ». cependant, que les autochromes ne peuvent pas être exposés. Dessiner sur le monde du Victoria and Albert Museum. . .Colour Mania offre ainsi une rare occasion de découvrir la riche variété d’autochromes produits au cours des deux décennies où le processus a attiré les photographes.
Le livre commence par examiner la réception, l’application et l’héritage de l’autochrome dans le contexte plus large du développement de la photographie couleur. Quatre chapitres thématiques explorent ensuite les principaux domaines de pratique des autochromistes – portrait, jardins, nature morte et voyage – en se concentrant sur la vie et le travail de sept personnes clés, dont Alvin Langdon Coburn et Helen Messinger Murdoch. Une dernière section examine les défis posés par la conservation de ces objets historiquement importants, mais intrinsèquement fragiles. Mettant en vedette des photographies spécialement commandées et éclairées par les dernières recherches et recherches, Colour Mania ramène le lecteur dans le temps pour partager l’émerveillement et l’excitation initiaux de ce que nous tenons maintenant pour acquis : photographier le monde en couleur.
‘Whoever has tried it will not want to do anything else.’ So declared French photographer Albert Londe after first using the autochrome, the revolutionary colour photography process released in 1907. Invented by the Lumière brothers, the autochrome was quickly embraced by all quarters of the photographic community, not least the American Pictorialist Alfred Stieglitz, who proclaimed, ‘soon the world will be color-mad’. Such is their fragility, however, that autochromes cannot be exhibited. Drawing on the Victoria and Albert Museum’s world-class collection, Colour Mania thus offers a rare opportunity to experience the rich variety of autochromes produced in the two or so decades in which the process had photographers entranced.
The book begins by considering the reception, application and legacy of the autochrome in the wider context of the development of colour photography. Four themed chapters then explore the principal subject areas in which autochromists practised – portraiture, gardens, still life and travel – focusing on the life and work of seven key individuals, including Alvin Langdon Coburn and Helen Messinger Murdoch. A final section looks at the challenges posed by the conservation of such historically important yet inherently fragile objects. Featuring specially commissioned photography and informed by the latest research and scholarship, Colour Mania takes the reader back in time to share in the initial wonder and excitement of what we now take for granted: photographing the world in colour.
