Depuis 1994, David McMillan s’est rendu vingt-deux fois dans la zone d’exclusion de Tchernobyl. Adolescent, il avait éé fortement impressionné par le roman de Nevil Shute “Le dernier Rivage” (1957), tableau d’apocalupse d’une humanité annihilée par une guerre nucléaire. Pendant tous ses séjrs, McMillan a documenté la ville de Pripiat, à 3 km de la centrale et l’un des lieux les plus touchés par la catastrophe. Debout mais vidée de sa population, elle est devenue le symbole de la ville irradiée, une Pompéi de l”ère nucléaire. McMillan a exploré les zones évacuées où la nature reprend ses droits sur le bâti, où l’on ne croise âme qui vivie sinon, parfois, un scientifique qui mesure les effets de la radioactivité. Il nous livre ici une méditation sobre et puissante sur la fragilité de la civilisation technicienne ; photos en couleurs.
David McMillan : Croissance et dégradations
Depuis 1994, David McMillan s’est rendu vingt-deux fois dans la zone d’exclusion de Tchernobyl. Adolescent, il avait éé fortement impressionné par le roman de Nevil Shute “Le dernier Rivage” (1957), tableau d’apocalupse d’une humanité annihilée par une guerre nucléaire. Pendant tous ses séjrs, McMillan a documenté la ville de Pripiat, à 3 km de la […]Lire la suite
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Poids | 2250 g |
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Dimensions | 31 × 26 cm |
EAN | 9783958295902 |
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Ville | |
Editeur | |
Date d'édition | |
ISBN | 9783958295902 |
Langue(s) | français |
Nombre de pages | 262 |
Reliure | Relié |