Pour l’AFP, l’histoire du Covid-19 a véritablement démarré le 30 janvier 2020 : ce jour-là, la photo prise par Hector Retamal d’un corps allongé dans les rues de Wuhan, observé à distance prudente par des officiels en combinaison intégrale, a fait la une de nombreux médias et ouvert une très longue séquence de scènes dystopiques.
Les historiens diront si l’ancien ministre Hubert Védrine a eu raison d’affirmer que « pour la première fois l’humanité s’est mise à avoir peur en même temps de la même chose ».
Ce qui semble en tout cas peu contestable, c’est que la pandémie a été l’archétype de l’histoire globale, touchant tous les pays, irriguant tous les sujets, phagocytant toute l’actualité pendant de bien longues semaines.
L’AFP a raconté la plongée en apnée de la planète entière, de Pékin à Vancouver, de Johannesburg à Beyrouth en passant par Mulhouse, puis la reprise hésitante, fragile, de la vie…
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