1ère édition tirée à 500 exemplaires.
En 2011, le père du photographe Hans Bol a reçu un diagnostic de cancer. En réponse, il a pris son appareil photo et a commencé une chronique touchante et intime de la détérioration progressive du vieil homme au cours des six mois suivants, jusqu’à ce que son père décède finalement dans le confort d’un hospice, incapable de parler. Bol n’aurait pas pu prédire qu’il finirait par faire la série «White Crow», ni ce qui résulterait du processus consistant inévitablement à dire au revoir à un être cher. Intercalées avec des photos de son père, des images de corbeaux et de corneilles apparaissent fréquemment dans l’œuvre de Bol. Dans cette publication, il les considère comme des messagers des dieux, des symboles de transformation et des signes avant-coureurs de l’éternité ; photos en n.b.
In 2011 photographer Hans Bol’s father was diagnosed with cancer. In response, he took his camera and began a touching and intimate chronicle of the elderly man’s gradual deterioration over the next six months, until his father finally passed away in the comfort of a hospice, no longer able to speak. Bol could not have predicted that he would end up making the series ‘White Crow’, or what would result from the process of inevitably saying goodbye to a loved one. Interspersed with pictures of his father are images of crows and ravens that appear frequently in Bol’s work. In this publication he views them as messengers of the gods, symbols of transformation and harbingers of eternity.