Ne dites surtout pas à Katrien de Blauwer qu’elle fait des collages : « Disons que je suis une photographe sans appareil. La coupe est comparable chez moi au déclic de l’appareil photo. » Elle découpe, colle, assemble, colore, manipule des photographies glanées dans des magazines des années 1950-1960 qu’elle chine et collectionne. Proches du montage cinématographique, ses œuvres recèlent une intense charge narrative.
Les photos qu’elle ne montre à personne rassemble 10 ans d’un travail lié à la mémoire. Aussi intime qu’anonyme, son œuvre révèle des scénarios possibles pour chacun de nous. Préface de Philippe Azoury
For me, cutting is like the click of the camera.” She cuts, glues, assembles, colours and manipulates photographs gleaned from magazines that she searches for and collects. Akin to film editing, her works are characterised by an intense narrative charge.
The Photos She Doesn’t Show to Anyone brings together ten years of work focused on memory. Both intimate and anonymous, her work reveals possible scenarios for each and every one of us.