Il fut d’abord un petit garçon timide, sauvage, introverti. Qui ne parlait pas. Qui ne souriait pas ou peu. Il était ombrageux, solitaire mais pas seul. Il avait dans sa tête un compagnon vêtu de lumière qui n’était autre que lui-même. Sébastien Castella, matador français natif de Béziers, est devenu en quelques années un des plus grands toreros de son époque. Ce livre donne à voir et à comprendre les grandes heures de sa tauromachie en France, en Espagne, en Amérique du Sud.
Olga Holguin : Castella
Lire la suite
| Poids | 2600 g |
|---|---|
| Dimensions | 30 × 30 cm |
| EAN | 9782330006389 |
| Photographe | |
| Ville | |
| Editeur | |
| Date d'édition | |
| ISBN | 9782330006389 |
| Langue(s) | français |
| Nombre de pages | 334 |
| Reliure | Relié |
| SKU: | 23035 |
|---|---|
| Rayons | Arts & Spectacles, Iconographie, Photographes |
| Tags: | Portrait, Spectacle, Sport, Tauromachie |
Plus de livre de cet éditeur
-
Photo Poche N° 183 : La photographie moderniste brésilienne
19,50€Dans les années 1940, le Brésil se modernise.
Témoins de cette révolution, les photographes du courant moderniste, se saisissant des potentiels politiques, sociaux et esthétiques de leur médium, donnent à voir de nouveaux sujets. Cette production est ici présentée à travers plus d’une vingtaine de personnalités et replacée dans le contexte social et visuel de l’époque par des textes d’historiens.
-
Photo Poche N° 181: La photographie pictorialiste
19,50€Un panorama du pictorialisme à travers une sélection de photos mêlant chefs-d’oeuvre et inédits émanant de 80 photographes comme James Craig Annan, Robert Demachy, Gertrude Käsebier, Guido Rey, Alfred Stieglitz ou Clarence H. White.
-
-
Depardon : la ferme du Garet
32,00€Réédition (4ème édition) de ce livre autobiographique paru en 1995 où Raymond Depardon parle de lui-même, de sa région, de la photographie. Il le fait très bien, avec sincérité, comme toujours.
-
Photo Poche N°85 : Claude Cahun
13,90€Surréaliste, Claude Cahun excelle dans l’autoportrait et le photomontage. Elle y traduit son goût pour le symbolisme et une forme théâtralisée de la vie.
Son autobiographie par l’image fait une large place à l’identité de genre : elle préfère l’indéfinition. « Toute création est création de soi », dit-elle, rebelle à toute identification et considérant que « les étiquettes sont méprisables ».











