Le photographe présente lui-même son travail.
Depuis ses débuts de photographe à la fin des années 1970, Yann Arthus-Bertrand s’est toujours interrogé sur le lien entre l’homme et la nature. Qu’il s’agisse des lions du Massaï Mara au Kenya qu’il considère comme « ses premiers professeurs de photographie », de ses grands reportages pour Géo ou National Geographic, de la Terre vue du ciel, ce monumental portrait aérien de la planète au tournant du millénaire, ou des séries qu’il a consacrées aux animaux domestiques, Yann Arthus-Bertrand enchaîne les projets. Livres, expositions et, plus récemment télévision et cinéma, lui permettent d’approfondir son engagement en faveur d’une écologie humaniste ; photos en couleurs.
Since he began photography at the end of the 70s, Yann Arthus-Bertrand has always asked himself about the relationship between man and nature. Whether it concerns the lions in Masaï Mara in Kenya that he considers « his first teachers in photography », the great reports that he did for Géo and National Geographic, The Earth From Above, the monumental acrial portrait of the planet at the turn of the new millennium, or the series that he has dedicated to domestic animals, Yann Arthus-Bertrand hasn’t stopped creating projects. Books, exhibitions and, more recently TV and film, allowing him to go deeper in his commitment to humanistic ecology.
