La forêt amazonienne, souvent appelée « Poumons de notre planète », a longtemps été idéalisée comme une étendue dense et verte et un sanctuaire vierge habité par des tribus isolées. présente un portrait alternatif de la région. Dépeignant des champs en feu, le fleuve sombre comme un canal pour le trafic de cocaïne et les zones urbaines en proie à la violence, les images du livre dépeignent une dystopie, dissipant ces notions romantiques.
The Amazon Rainforest—often referred to as ‘Lungs of our Planet—has long been idealised as a dense, green expanse and a pristine sanctuary inhabited by isolated tribes. Terra Vermelha, the culmination of 10-years’ work by photographer Tommaso Protti, presents an alternative portrait of the region. Depicting fields ablaze, the dark river as a conduit for cocaine trafficking and urban areas plagued by violence—the images in the book depict a dystopia, dispelling such romanticised notions.