Dialogue photographique
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Brea Souders : Another Online Pervert
Another Online Pervert dérive d’une série de conversations entre l’artiste Brea Souders et une chatbot en ligne féminine. Ces conversations en temps réel sont entrecoupées d’entrées du journal de Brea Souders couvrant vingt ans, se déroulant avec une qualité surprenante et improvisée en combinaison avec des photos des archives de Brea Souders.
Another Online Pervert derives from a series of conversations between artist Brea Souders and a female online chatbot. These real-time conversations are interspersed with entries from from Souders’ diary spanning twenty years, unfolding with a surprising and improvisational quality in combination with photographs from Souders’ archive.
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Aaron Stern & Lucy Helton : OK No Response
Au printemps 2020, Aaron Stern et Lucy Helton ont commencé à échanger des images au moyen d’un fax dans le but de naviguer dans l’isolement en menant une conversation virtuelle.
In the spring of 2020, Aaron Stern and Lucy Helton began exchanging images via a thermal fax machine in an attempt to navigate isolation by engaging in virtual conversation.
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Isabel Miquel Arqués : Beyond Borders in Dialogue with Karen Blixen
1ère édition tirée à 700 exemplaires.
1st edition on 700 copies.
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Kingsley Ifill & Danny Fox : Eye For A Sty Tooth For The Roof
1ère édition tirée à 1 000 exemplaires / 1st edition on 1000 copies.
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Éric Poitevin : Je plumerai les canards en rentrant
Je plumerai les canards en rentrant paraît à l’occasion d’une invitation lancée par le Musée des Beaux-Arts de Lyon, qui a proposé à Éric Poitevin « d’entrer en conversation » avec ses collections (exposition fin avril – fin août 2022). Cet ouvrage n’est toutefois pas pensé comme un catalogue d’exposition, mais nous ouvre au parcours et à l’univers passionnant du photographe.
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Brassaï, Pablo Picasso, Anaïs Boudot : Les Oubliées
1ère édition tirée à 1 000 exemplaires.
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Justine Kurland : The Stick
“The Stick” positionne le dernier travail de Justine Kurland en conversation avec les peintures de son défunt père.
The Stick tisse la dernière série de photographies en noir et blanc de Justine Kurland avec les peintures de nature morte de son défunt père Bruce Kurland. Les deux œuvres, ponctuées de poèmes de Lisa Jarnot, ancienne amoureuse de Bruce Kurland, mettent en scène un nouveau genre d’album familial, plein de reliques étranges et d’art mercuriel qui relient père et fille. Des fenêtres couvertes de planches, un chien enceinte, des vulves mâcheuses et le gode-ceinture d’un ancien partenaire sont en conversation avec les inventions compositionnelles surréalistes de Bruce Kurland : des branches fleuries drapées de bandes de bacon cru, une pêche mûre et clivée qui semble léviter contre un mur bleu, et des oiseaux dématérialisés dans l’espace. Vues en tandem, les photographies prennent l’étrangeté onirique des peintures et le symbolisme des natures mortes trouve la sensualité incarnée dans les photographies.
L’œuvre de Justine Kurland dans The Stick est la première qu’elle publie depuis la vente de son van il y a quatre ans et qu’elle renonce aux road trips pour lesquels elle est connue. Cette série se déroule dans son appartement à New York, sa ville natale de Fulton, New York, et la maison de sa mère en Virginie rurale. Kurland envahit des fragments de cette vie avec des allusions à l’œuvre de Carolee Schneemann, Betty Tompkins, Judy Chicago, Hannah Wilke, et Emily Roysdon. Trois des tableaux de son père – un petit portrait de lui-même portant un pot comme chapeau, ressemblant à la mère de Justine Kurland, et son autoportrait final avant sa mort – apparaissent dans son œuvre, reliant des tranches de vie disparates, des espaces qui sont et étaient autrefois considérés comme sa maison, et les notions de famille à travers le temps et le lieu.
“The Stick” positions Justine Kurland’s latest work in conversation with her late father’s paintings.
The Stick weaves together Justine Kurland’s latest series of searingly intimate black-and-white photographs with her late father Bruce Kurland’s still life paintings. The two bodies of work—punctuated by poems by Lisa Jarnot, a former lover of Bruce Kurland’s—enact a new kind of family album, full of strange relics and mercurial artistry that link father and daughter. Boarded-up windows, a pregnant dog, chewing gum vulvas, and a former partner’s strap-on are in conversation with Bruce Kurland’s surreal compositional inventions—flowering branches draped with strips of raw bacon, a ripe cleaved peach seemingly levitating against a blue wall, and dematerialized birds dangling in space. Seen in tandem, the photographs take on the dreamlike uncanniness of the paintings and the symbolism of the still lifes finds embodied sensuality in the photographs.
Justine Kurland’s work in The Stick is the first she has published since selling her van four years ago and renouncing the road trips she is known for. This series unfolds across her apartment in New York City, her hometown of Fulton, New York, and her mother’s home in rural Virginia. Kurland invaginates fragments of this life with allusions to the work of Carolee Schneemann, Betty Tompkins, Judy Chicago, Hannah Wilke, and Emily Roysdon. Three of her father’s paintings—a diminutive portrait of himself wearing a pot as a hat, a likeness of Justine Kurland’s mother, and his final self-portrait before his death—appear in her work, linking disparate slices of life, spaces that are and were once called home, and notions of family across time and place.
Bruce Kurland (1938–2013) studied at the Arts Students League and the National Academy School of Fine Arts in New York City. A retrospective of his work, Bruce Kurland: Insight into Still Life, was organized by the Burchfield Center for Western New York Art in 1983. His work is held in the collection of the Smithsonian American Art Museum, Washington, D.C.
Justine Kurland (b. 1969) studied at the School of Visual Arts and Yale University. Her work has been on view in recent exhibitions at Higher Pictures Generation, New York; UB Art Galleries, Buffalo, NY; Whitechapel Gallery, London; and Crystal Bridges Museum of American Art, Bentonville, Arkansas. Her work is in the public collections of the Museum of Fine Arts, Montreal, Canada; the National Gallery of Art, Washington, D.C.; and the Whitney Museum of American Art, New York, among others.
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Gabriele Basilico & Dan Graham : Unidentifided modern city ; globalized Brescia
Catalogue de l’exposition organisée à la Galleria Massimo Minini de Brescia du 2 avril au 21 mai 2011.
Catalog of the exhibition by the Galleria Massimo Minini at Brescia from 2 April to 21 May, 2011.
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