Palais de Tokyo
-
Au nom du nom ; Les surfaces sensibles du graffiti
Des gravures de Pompéï à celles des touristes sur les sur les ruines antiques, les cactus, les arbres et autres surfaces anonymes, l’humanité est née tagueuse. Mais le graffiti est une énergie qui ne surgit que pour disparaitre. Que reste-t-il ? Des traces et des plaies, pour voler les mots d’Henri Michaux.
From the engravings of Pompeii to those of tourists on ancient ruins, cacti, trees and other anonymous surfaces, humanity was born a tagger. But graffiti is an energy that emerges only to disappear. What remains? Traces and wounds, to steal Henri Michaux’s words.