Photographe libanais
-
Rima Samman : Le Bonheur tue
Un projet artistique revisitant des photographies de presse du Liban afin d’explorer la mémoire collective du pays. L’artiste, marquée par la double explosion de Beyrouth en 2020, colorie et manipule ces clichés pour exorciser les traumatismes passés. Mêlant images d’Epinal et photos de guerre, elle révèle des motifs récurrents comme la fuite et la détresse, soulignant la dualité des Libanais.
-
Ghaleb Cabbabé : How Can It Still Be Home?
50,00€Entièrement photographié en pellicule sur une période de plus de 5 ans, ce livre interroge la perception assez universelle et ambivalente du foyer, des liens et de l’appartenance.
Entirely shot on film over a period of more than 5 years, this book questions the quite universal perception and ambivalent notion of home, ties, and belonging.
It might be that warm and soothing light.
It could be the meals that we share.
Maybe it’s about childhood memories,
and the quiet family house nested in the mountains.
Is it simply because it can’t be somewhere else?
How could one feel safe and relieved
in the very same place that constantly shatters all dreams?
Through war and disillusion, how can Lebanon still be home?
-from the text by Ghaleb Cabbabé
-
Daido Moriyama & Avo Tavitian : Shinjuku / Los Angeles
50,00€Tavitian et Moriyama se concentrent tous deux sur le cadrage de sujets quotidiens, capturant des moments sur un film 35 mm tout en embrassant l’imprévisibilité du médium. Leur travail reflète une profonde fascination pour les paysages urbains et une curiosité pour le banal, car ils cherchent à documenter les changements et les constantes dans son champ de vision. Dans leurs explorations, les deux photographes utilisent l’appareil photo pour naviguer dans la complexité de l’appartenance et de l’identité dans un environnement humain en constante évolution.
Tavitian and Moriyama both focus on framing everyday subjects, capturing moments on 35mm film while embracing the unpredictability of the medium. Their work reflects a deep fascination with urban landscapes and a curiosity about the mundane, as they seeks to document the changes and constants in his field of vision. Through their explorations, both photographers use the camera to navigate the complexities of belonging and identity in an ever-shifting human environment.
-
Randa Mirza : Beirutopia
Publié à l’occasion de l’exposition lors des Rencontres de la photographie d’Arles 2024.
Un essai visuel percutant sur la transformation socio-politique et urbaine de la capitale libanaise.
Depuis la fin de la guerre civile libanaise, en 1990, Beyrouth cherche à renouveler son mythe d’une « ville glamour », à la charnière de l’Orient et de l’Occident. Mais l’enchaînement des cycles de destruction et de reconstruction l’éloigne de cette utopie et enlise le pays dans l’incertitude et le désespoir.
-
Ieva Saudargaité Douaihi : Beyrouth, ville nue / Beirut, naked city
53,00€Beyrouth est plurimillénaire.
En dehors du Beyrouth carte postale, la ville s’offre au regard, sans fard et sans pudeur.
-
Eli Rezkallah : Live in plastik
Une célébration de l’œuvre du photographe et fondateur Eli Rezkallah de PLASTIK.
La vie à Plastik est un récit visuel en cinq actes de la façon dont les souvenirs d’enfance ont infusé la photographie d’Eli Rezkallah au fil des ans.A celebration of the work of fine-art photographer and founder Eli Rezkallah from PLASTIK.
Life in Plastik is a five-act visual account of how childhood memories informed Eli Rezkallah’s photography throughout the years. -
Brigitte Manoukian : Les fils de Burj Hamud
Cette série a été réalisée entre 2016 et 2020, suite à plusieurs séjours au Liban.
-
Rania Matar : She
Artiste américaine d’origine libanaise et mère de famille, Rania Matar s’inspire de ses expériences interculturelles.
-
Françoise Khoury : Échafaudage
Livre Épuisé.
Nous avons un exemplaire sous cellophane d’origine.
















