Benedict Brink : Look, Touch

1ère édition tirée à 500 exemplaires.

1st edition of 500 copies.

Lire la suite

,

Rupture de stock

Être averti si le livre est à nouveau en stock

1ère édition tirée à 500 exemplaires.

Je n’avais jamais observé Benedict Brink (b. 1985, australien) évoluant vers la perfection, je perçois dans son regard un sentiment de dédain pour quelque chose de trop propre, ou carré. Les gens la prennent souvent pour un homme à cause de son nom. Je pense que c’est peut-être aussi à cause de cette façon grossière de voir. Benedict défie toute tradition sur la façon dont on peut s’attendre à ce qu’une image d’un corps soit représentée par une lentille féminine — ou masculine d’ailleurs — elle fausse la prévisibilité. La puissance réside dans cet objectif de déstabilisation tandis que les images détiennent encore une qualité douce et tendre. Le corps devient une sculpture brisée, suspendue dans l’air et vue du coin de l’œil. Est-elle proche, ou la focale est-elle longue? Peu importe, je sens toujours le contact de la peau, ou la température de ce jour-là. C’est une poussée-traction intéressante à rencontrer avec une immédiateté dans ses images, combiné avec une distance. Les forces opposées attirent. Elle respecte le sujet et leur permet de rester en privé. -Extrait de l’avant-propos du cinéaste Kersti Jan Werdal.

1st edition of 500 copies.

I’ve never observed Benedict Brink (b. 1985, Australian) step towards perfection, I get a sense of disdain for anything too clean, or right-angled. People often mistake her for a man because of her name. I think perhaps, it’s also due to this crude-commitment type-way of seeing. Benedict defies any traditions of how an image of a body may be expected to be represented through a female lens — or male lens for that matter — she skews predictability. The power lies in achieving this while the pictures still hold a soft and tender quality. The body becomes a busted sculpture, suspended in air and seen out of the corner of my eye. Is she close, or is the lens long? Regardless, I always feel the touch of skin, or the temperature that day. It’s an interesting push-pull to be met with an immediacy in her images, combined with a distance. Opposing forces attract. She respects the subject, allowing them privacy. -excerpt from the foreword written by filmmaker Kersti Jan Werdal.

Poids 500 g
Dimensions 22 × 28 cm
Auteur(s)

Date d'édition

EAN

9789188113634

Editeur

Photographe

Spécifité

,

Ville

ISBN 9789188113634
Langue(s) anglais
Nombre de pages 40
Reliure Relié