Le cœur de la ville, ses artères, son centre névralgique, ses parcs et jardins comme ses poumons, autant de métaphores organicistes et même animistes qui assimilent l’espace urbain à un organisme, aussi bien d’un point de vue physique que fonctionnel, et dont Christophe Acker se sert pour créer une pulsation dans la ville.
Accompagné de la chorégraphe Johana Malédon, il est allé d’un quartier à l’autre à la rencontre des Vichyssois, des élèves d’écoles de danse, et d’une cavalière, déplaçant les lignes et mettant en lumière les liens qui s’opèrent entre mouvement des corps et lignes architecturales. Sa proposition offre un regard singulier sur la ville.
La résidence photographique est confiée cette année au réalisateur Français Christophe Acker qui a travaillé, avec des élèves d’écoles de danse de Vichy, une cavalière et une acrobate, à l’étonnante proposition d’une visite « dansée » de la ville, à travers un film projeté au palais des Congrès et des photographies présentés sur le parvis de la gare.