Coco Capitán n’aime pas les avions. Au lieu de cela, elle n’aime rien de plus que les formes classiques de transport – voiliers, yachts, voitures anciennes et, bien sûr, le voyage en train archétype. Ainsi, lorsque Capitán a été invitée à photographier le Simplon-Orient-Express de Venise – avec ses voitures originales des années 1920 et ses routes historiques à travers l’Europe – elle ne pouvait pas dire non. À bord du Simplon-Orient-Express de Venise, Capitán a adopté l’approche la plus instinctive. Celui d’un voyageur curieux en voyage entre amis. Dans la série, la relation que Capitán a établie avec le personnel est interchangeable avec le lien existant avec ses amis qui la rejoignent dans le voyage. Les images varient d’instantanés ludiques à des moments réfléchis de contemplation.
Les photographies de Capitán et le titre de la série nous rappellent que, parmi le glamour, le pèlerinage est tout aussi important que la destination. Chaque minute doit être précieuse, peu importe à quel point elle peut être stupide ou triviale, car cette nouvelle réalité est éphémère et appartiendra bientôt à quelqu’un d’autre.
Coco Capitán doesn’t like planes. Instead, she loves nothing more than classical forms of transportation – sailboats, yachts, vintage cars and, of course, the archetypal train journey. So when Capitán was invited to photograph the Venice Simplon-Orient-Express – with its original 1920s carriages and historic routes throughout Europe – she couldn’t say no. While on board the Venice Simplon-Orient-Express, Capitán took the most instinctive approach, that of a curious traveller taking a trip with friends. Within the series, the relationship Capitán has built with the staff is interchangeable with the existing bond with her friends who join her on the journey. Images fluctuate from playful snapshots to thoughtful moments of contemplation.
Capitán’s photographs and the series title remind us that, amongst the glamour, the pilgrimage is just as important as the destination. Each minute should be treasured, no matter how silly or trivial it can feel, because this new reality is fleeting, and will soon belong to someone else.
