1ère édition tirée à 1 000 exemplaires.
La scène se déroule dans les chambres des autres. On demande au modèle de s’endormir, un déclencheur est placé sous l’oreiller. La possibilité que le corps inconscient se retourne et déclenche l’appareil photo entraîne une exposition. Like Someone Alive élargit ces limites en retirant les relations traditionnelles entre le photographe, l’objet et l’appareil photo. « Il y a environ cinq ans, j’essayais de comprendre comment l’approche du déclencheur se refléterait directement dans l’image. Comment la pression peut-elle façonner la physicalité sur le déclencheur qui génère l’exposition. J’ai fait tirer cette vieille barre. Je me tirais physiquement vers le haut tout en serrant le déclencheur de câble pour faire une image. Un pas de plus a été de rejeter la conscience de l’approche, de sorte que le sommeil est devenu l’intrigue, mais la photographie est l’histoire. »
1st edition of 1000 copies.
The scene is set in the bedrooms of others. One is asked to be asleep, a squeeze cable release is placed under the pillow. The chance of one’s unconscious body rolling over and triggering the camera results in an exposure. Like Someone Alive expands these boundaries by withdrawing the traditional relationships between the photographer, the object and the camera. “About five years ago I was trying to realise a way where the approach towards the trigger would somehow be directly reflected in the image. How can the pressure craft the physicality upon the trigger that generates the exposure. I had this old exercise pull up bar. I would physically pull myself up while squeezing the cable release to make an image. A step further was to somehow dismiss the awareness of the approach, so sleep became the plot but photography is the story.”