1ère édition tirée à 500 exemplaires.
1st edition of 500 copies.
Le titre est inspiré du livre de Reyner Banham The Architecture of Four Ecologies, qui a trouvé ce qui personnifie Los Angeles avec ses quatre ‘écologies’ : les plages, les autoroutes, les plaines et les collines.
La cinquième écologie de la ville, proposée par Ewan Telford, est celle des rêves, qui sont au cœur de la ville et de l’identité nationale.
The title is inspired by Reyner Banham’s book The Architecture of Four Ecologies, which found the meaning of Los Angeles in its four ‘ecologies’: the beaches, freeways, flatlands and hills.
The city’s fifth ecology, proposed by Ewan Telford, is that of dreams, which are famously central to the city and the national identity.
Le dernier avant-poste de l’Ouest, Los Angeles, pourrait être décrit comme l’aboutissement de l’histoire culturelle américaine. La L.A. de L’Ecologie des Rêves n’est pas celle de « Tinseltown », du soleil et du surf, comme on l’identifie communément (à tort), mais celle d’une mégalopole du 21ème siècle après quarante ans de capitalisme néolibéral, ville d’empires corporatifs et de forces de police militarisées, communautés fermées et de catastrophe environnementale. L.A. est également une ville de mystère profond et de beauté étrange.
The last outpost of the West, Los Angeles might be described as the culmination of U.S. cultural history. The L.A. of The Ecology of Dreams is not that of ‘Tinseltown’, sun and surf, as it is commonly (mis)understood, but that of a 21st Century megalopolis after forty years of neoliberal capitalism: a city of corporate empires and militarised police forces, gated communities and environmental catastrophe. L.A. is also a city of deep mystery and strange beauty.