1ère édition tirée à 500 exemplaires.
Giacomo Brunelli arpente les rues de New York avec son ancien appareil photo, souvent dix heures par jour, à la recherche de personnages et de détails qui dérivent dans le temps.
Son travail a un air de nostalgie et une sensibilité de film noir. Les images sont sombres, sombres, maussades et un peu menaçantes – comme si nous regardions à travers les yeux d’un détective de nuit, d’un voyeur ou d’un harceleur.
Ils provoquent un récit non dit, offrant des indices sur un mystère inconnu.
Fidèle à son amour des choses anciennes et des habitudes, Brunelli tourne avec un appareil photo Miranda de 1962 et imprime dans sa chambre noire.
(Jim Casper, pour LENS CULTURE)
Giacomo Brunelli stalks the streets of New York with his old film camera, often for ten hours a day, looking for characters and details that are adrift in time.
His work has an air of nostalgia to it, and a film noir sensibility. The images are dark, shadowy, moody and a bit menacing — as if we’re looking through the eyes of a night detective, a voyeur or a stalker.
They provoke an unspoken narrative, offering up clues to an unknown mystery.
True to his love of old things and old ways, Brunelli shoots with a 1962 Miranda camera and prints in his darkroom.
(Jim Casper, for LENS CULTURE)