“Soft Eyes”, a écrit un jour le regretté Henry Wessel en décrivant la façon dont il cherchait des photos, « est une sensation physique.
Vous ne cherchez pas quelque chose. Vous êtes ouvert, réceptif. À un moment donné, vous êtes face à quelque chose que vous ne pouvez ignorer.»
Dans cet acte d’hommage intelligent et tendre, les photographies de Wessel (dont beaucoup n’ont jamais été publiées) sont associées au travail de deux jeunes photographes californiens, Austin Leong et Adrian Martinez, et le travail qui en résulte est une exploration surprenante de l’influence ainsi qu’une étude des sortes de tissus conjonctifs qui fournissent un fil conducteur dans la longue et fascinante histoire de la lignée de la photographie.
“Soft eyes”, the late Henry Wessel once wrote in describing the way he went about looking for photographs, “is a physical sensation.
You are not looking for something. You are open, receptive. At some point you are in front of something that you cannot ignore.”
In this smart and tender act of homage, Wessel’s photographs (many of them previously unpublished) are combined with the work of two younger California photographers, Austin Leong and Adrian Martinez, and the resulting work is a surprising exploration of influence as well as a study of the sorts of connective tissue that provide a throughline in photography’s long and fascinating history of lineage.