Peu après la fin de la guerre, voyager à l’étranger était une entreprise difficile au Japon, et Paris, la capitale mondiale de l’art, était une destination qui appartenait au monde des rêves.
En 1954, son appareil Leica chargé d’un film couleur japonais de pointe, le vœu cher de Ihei Kimura de visiter Paris s’est réalisé.
Il y rencontra des photographes tels que Henry Cartier-Bresson et Robert Doisneau, et put assister au quotidien des gens ordinaires dans les rues commerçantes et les quartiers d’affaires d’un Paris animé.
“afterimage of Paris 1950” recueille 117 de ses impressions parisiennes – des photos en couleurs qui sont exceptionnelles dans le cadre du travail de Ihei Kimura.
Le célèbre charme d’un Paris rêvé revient à la vie ; photos en couleurs.
Shortly after the end of the war, travelling abroad was a difficult endeavour in Japan, and Paris, the world capital of art, was a destination that belonged to world of dreams.
In 1954, his Leica camera loaded with state-of-the-art Japanese color film, Kimura’s heartfelt desire to visit Paris came true.
There, he met photographers such as Henry Cartier-Bresson and Robert Doisneau, and could witness the everyday drama of ordinary people in the high streets and business quarters of a lively Paris.
“Afterimage of Paris 1950s” collects 117 of his Paris impressions – color photos that are exceptional within the Kimura’s body of work.
The famous charme of a golden Paris comes back to life. — from the publisher’s statement