Depuis 20 ans, James Hill photographie la vie dans la maison ancestrale de sa femme en France, le château de Maillebois. Entourée d’un parc clos, la propriété est une île du passé prise dans le présent. Les images, à la fois tendres et fantaisistes, explorent la pléthore d’émotions qui proviennent de la vie dans une maison qui a tant d’histoire et comment la famille et la communauté locale interagissent avec elle. Le photographe observe sa famille dans leur rôle de gardiens temporaires du château, tentant de maintenir ses traditions et de les transporter dans un avenir incertain. James Hill est photographe contractuel pour le New York Times depuis 1995 et ses images ont remporté de nombreux prix parmi les plus importants du photojournalisme, notamment World Press Photo, le prix Pulitzer et le Visa d’Or ; photos en n.b.
For the last 20 years James Hill has been photographing life at his wife’s ancestral home in France, the Château de Maillebois. Surrounded by a walled park, the property is an island of the past caught in the present. The images, both tender and whimsical, explore the plethora of emotions that come from living in a house bearing so much history and how the family and the local community interact with it. The photographer watches his family in their role as temporary custodians of the castle, attempting to maintain its traditions and carry them into an uncertain future. James Hill has been a contract photographer for The New York Times since 1995 and his images have won many of photojournalism’s most important prizes including World Press Photo, the Pulitzer Prize and the Visa d’Or.