Cette nouvelle édition élargie du livre photo très acclamé de Joel Meyerowitz, Wild Flowers, présente désormais, dans un format plus grand, des images nouvelles et inédites. Pendant près de quarante ans, Joel Meyerowitz a entretenu son jardin visuel dans les rues et les parcs et les villes qu’il a visité ou habité.
Il sort dans les rues les yeux ouverts et passionné, portant une machine parfaitement adaptée à la tâche de tout saisir. Le Leica, aussi rapide qu’un coup de cil, interrompt sans effort le temps, s’arrête et le tient pour toujours. Ces promenades lui ont donné forme à un nouveau territoire qu’il a commencé à penser comme un jardin reflétant la variété de ses observations. Puis, un jour, pendant le montage, Meyerowitz est tombé sur un petit groupe de ces photographies de fleurs qu’il avait rassemblées sans le savoir. Il a commencé à croire que cette prémisse innocente pourrait suffire à relier nombre de ses autres préoccupations photographiques sous le thème nominal des “ fleurs ”, qui, compte tenu des surprises de la vie en ville, il considérait comme des fleurs devenues quelque peu folles – et donc des fleurs sauvages. est né.
This new and expanded edition of Joel Meyerowitz’s widely acclaimed photobook, Wild Flowers—now, in a larger format, features new and unpublished images. For nearly forty years Joel Meyerowitz has tended his visual garden in the streets and parks and cities he has visited or lived in.
He goes out into the streets open-eyed and passionate, carrying a machine which is perfectly suited to the task of taking it all in. The Leica, as quick as the flick of an eyelash, effortlessly interrupts time, stopping and holding it forever. These walks gave shape to new territory for him, which he began to think of as a garden that reflected the variety of his observations. Then, one day, while editing, Meyerowitz stumbled upon a small group of these flower photographs which he had gathered unknowingly. He began to believe that this innocent premise might be enough to tie together many of his other photographic concerns under the nominal subject of ‘flowers,’ which, given the surprises of city life, he viewed as flowers gone somewhat berserk—and so Wild Flowers was born.