Au cours des quatre dernières années, le photographe Juan Travnik a exploré Buenos Aires et créé une série de nouvelles photographies. Les taches sur les murs, les taches, les passages croisés, les textes illisibles, les traces de ce qui a été enlevé ou remplacé et l’usure naturelle du temps créent une série de couches qui, comme les sédiments, construisent la possibilité d’une approche qui culmine dans des images d’ambiguïté mystérieuse et d’interprétations multiples.
Prises entre 2019 et 2023, les photographies de “Materia” dialoguent avec son travail précédent, en maintenant le même engagement pour l’utilisation de la photographie directe mais en intégrant désormais de nouvelles technologies numériques, aboutissant à des originaux avec des impressions papier chromogéniques.
In the last four years, photographer Juan Travnik has been exploring Buenos Aires and has created a set of new photographs. Stains on the walls, patches, cross-outs, unreadable texts, traces of what was removed or replaced, and the natural wear and tear of time, create a series of layers that, like sediment, construct the possibility of an approach that culminates in images of mysterious ambiguity and multiple interpretations.
Taken between 2019 and 2023, the photographs in “Materia” engage in a dialogue with his previous work, maintaining the same commitment to the use of direct photography but now incorporating new digital technologies, resulting in originals with chromogenic paper prints.