VENDU / SOLD OUT
Vajrayana est une collection de photos prises par le photographe Hongkongais Kan Tai Wong et son partenaire Ah Fai au cours d’un long voyage dans des temples bouddhistes qui les a conduits à travers l’Inde, le Tibet, le Népal et l’Himalaya. Wong a visité le Tibet pour la première fois en 1991, après s’être senti inexplicablement attiré par le pays bouddhiste, et avait prévu de conclure son projet photographique dans les deux ou trois ans. En raison de circonstances imprévues et de l’intérêt croissant de sa femme et de lui pour le bouddhisme tibétain, leur voyage s’est étendu pour aller bien au-delà du Tibet. Wong considère toujours le projet comme incomplet.
«J’ai été témoin du Gange à l’aube d’hiver – au milieu de la tranquillité et de la sérénité – tandis que les fidèles plongeaient dans l’eau glaciale alors que la vapeur qui montait du fleuve brillait. J’ai vu la lumière et l’ombre tourbillonnantes sous les arbres Bodhi près du Bodhgaya Diamond Block et j’ai entendu le chant des nonnes Amitabha du Népal sonner comme des anges chantant du ciel …
Maintenant, chaque fois que je sens l’odeur des feuilles de cyprès brûlées, je sais que je suis retourné au pays des Tibétains.
– d’après la postface de Kan Tai Wong
Vajrayana is a collection of photos shot by Hongkong-based photographer Kan Tai Wong and his partner Ah Fai during a long journey to Buddhist temples that took them through India, Tibet, Nepal and the Himalayas. Wong first visited Tibet in 1991, having felt inexplicably drawn to the Buddhist country, and planned to conclude his photographic project within two or three years. Due to unforeseen circumstances and his and his wife’s growing interest in Tibetan Buddhism, their journey grew to reach much further than Tibet. Wong still considers the project incomplete.
“I witnessed the Ganges in the winter dawn — amid tranquility and serenity — while devotees dipped into the freezing water as vapour rising from the river glowed. I saw the whirling light and shade under the Bodhi trees by the Bodhgaya Diamond Block and heard the chanting of Nepal’s Amitabha nuns sounding like angels singing from heaven…
Now, whenever I smell the odour of burning Cypress leaves, I know I have returned to the land of the Tibetans.” — from Kan Tai Wong’s afterword