Exemplaire Signé.
1ère édition tirée à 500 exemplaires.
« La tristesse, la joie des gens que je croise, l’épanouissement et le déclin des rues atteignent en moi comme la voix de la chair vivante. » — postface de Keizo Motoda
Sans les dates clairement indiquées dans la légende de chaque photo, il serait difficile de savoir dans quelle décennie Keizo Motoda a pris les images dans son livre de photos « Todoroki » (les années 2010).
Dans ses portraits de rue, Motoda vit sa fascination pour les sous-cultures et les cultures marginales dans la société japonaise, des rockabillies, des artistes de rue, des travestis et des amateurs de Lowrider aux moines bouddhistes itinérants. Il se tourne vers ceux qui rendent les rues intéressantes ; photos en n.b.
“The sorrow, the joy of the people I pass, the flourishing and decline of the streets reach into me like the voice of living flesh.” — from Keizo Motoda’s afterword
Without the dates clearly stated in the caption of each photograph, it would be difficult to ascertain in which decade Keizo Motoda shot the images in his photobook “Todoroki” (the 2010s).
In his street portraits, Motoda lives his fascination with sub- and fringe cultures in Japanese society, from rockabillies, street performers, transvestites and lowrider enthusiasts to traveling buddhist monks. He turns his lens towards those who make the streets interesting.