1ère édition tirée à 330 exemplaires.
Cet essai photographique est un dialogue entre la photographie Laure Vasconi et l’architecte Ignacio Prego, réalisé lors du premier confinement, du mois de mars au mois de mai 2020.
En opérant un geste de recentrage sur le noyau de l’espace architectural, Laure Vasconi serre et resserre son cadre, pour n’en retenir que la part minérale et n’en conserver que la lumière crépusculaire. La photographe invente ainsi une manière de traduire par l’image la force ambivalente, à la fois triste et jouissive, du sentiment de fermeture mentale et physique.
This photographic essay is a dialogue between the photographer Laure Vasconi and the architect Ignacio Prego, created during the first lockdown between March and May 2020.
By refocusing on the core of the architectural space, Laure Vasconi continually fixes and tightens the framing of her lens on her subject in order to retain only its mineral aspect and preserve its dusk light. The photography thus finds a way to translate through images the ambivalent power, both sad and joyful, of the emotions grappling with physical and mental closure.