Coffret Collector numéroté sur 30 exemplaires avec un tirage Signé.
Le livre et le tirage sont dans un écrin en bois.
Max a déclaré: The Sea of Love est un livre qui présente les cultures dans lesquelles j’ai vécu au fil des décennies. C’est aussi un livre qui montre ma façon de travailler, comment ce travail a évolué et comment les processus de comportement obsessionnel ont été compressés en recherche via le dispositif du livre. C’est aussi un livre qui interroge la condition humaine, le désir, la famille, la particularité territoriale et l’altérité. Le chapitre d’ouverture est le reflet de l’amour brutal «vous ne pouvez que m’adorer, vous ne pouvez pas me quitter», l’amour que le despote populiste offre à toute une population en renforçant sa loyauté envers Big Brother par la peur, étayée par un appareil massif de sécurité et de répression, ainsi que systématique lavage de cerveau.
Le chapitre suivant raconte une obsession d’amour ouverte avec La Maja de Francisco da Goya. Sa représentation d’elle est une mer d’amour. La première fois que je l’ai vue en chair et en os, au musée du Prado, je suis restée devant elle pendant des heures, nageant à travers elle, autour d’elle, aspirant à l’impossible catharsis de l’amour rétribué qui se briserait sur moi.
Chaque chapitre devait refléter le récit d’amour de ma vie, motivé par des contingences diverses, impossibles à anticiper. Cette carrière de cartographie des émotions en tant que processus photographique a été longue et lente, étouffée ou sensibilisée par les changements de géographie et de chimie corporelle avec des pics saisonniers flexibles qui sont aussi imprévisibles qu’infinis. Il m’a fallu des années pour monter ce charmant dragon d’une manière qui n’avait aucun sens autre que le premier cru
Je pensais que la meilleure addiction que j’avais à ce genre de vie.
Max said: The Sea of Love is a book that samples the cultures I have lived in over the decades. Its also a book that samples the way I work, how that work has evolved and how processes of obsessive behaviour have been compressed into research via the device of the book. Its also a book that interrogates the human condition, desire, family, territorial peculiarity and otherness. The opening chapter is reflective of the brutal “you can only worship me, you cannot leave me” love the populist despot offers an entire population enforcing loyalty to Big Brother through fear, buttressed through a massive apparatus of security and repression, as well as systematic brainwashing.
The following chapter riffs off an open ended love obsession with Francisco da Goya’s La Maja. His depiction of her is a sea of love. The first time I saw her in the flesh, at the Prado Museum, I stood in front of her for hours, swimming through her, around her, longing for the impossible catharsis of requited love to break over me.
Each chapter needed to reflect the love narrative in my life driven as it is by diverse, impossible to anticipate contingencies. This career of mapping emotion as a photographic process has been on a long slow burn, muted or sensitised by shifts in geography and body chemistry with flexing seasonal spikes that are as unpredictable as they are endless. It took me years to ride this lovely dragon in a way that made any sense at all other than the raw first
thought best thought addiction I had to that kind of life.