1ère édition tirée à 1 200 exemplaires.
Après la perte de sa femme Yoko en 1990, prendre des photos du ciel est devenu une pratique habituelle pour Araki. Pour l’artiste, le ciel est un miroir reflétant son état émotionnel, et les visages toujours changeants du ciel sont une métaphore du simple passage des ays – une similitude de la vie elle-même. Araki se réfère souvent à ses photographies comme étant comme un I-roman. De même, ces photographies du ciel sont personnelles, ce qu’Araki appelle « shikū (je-ciel) », capturant un ciel qui n’appartient à personne d’autre qu’Araki.
En raison d’un déménagement fin 2011, Araki a fait ses adieux à sa maison et à son balcon, un endroit spécial qui est apparu comme le cadre de plusieurs de ses œuvres. Après “Sentimental Journey, Winter Journey”, un livre photo du temps qu’Araki a passé avec Yoko jusqu’à sa mort, et “Sentimental Journey, Spring Journey” qui documente les derniers jours de Chiro, “Sentimental Sky” est le symbole d’un autre chapitre de clôture pour une histoire d’amour dans la vie d’Araki.
After the loss of his wife Yoko in 1990, taking photographs of the sky became a habitual practice for Araki. To the artist, the sky is a mirror reflecting his emotional state, and the ever-changing faces of the sky are a metaphor for the simple passing of the ays- a similitude of life itself. Araki often refers to his photographs as being like an I-novel. Similarly, these photographs of the sky are personal, what Araki calls “shikū (I-sky)”, capturing a sky that belongs to no one else other than Araki.
Due to a move at the end of 2011, Araki bid farewell to his house and balcony, a special place that has appeared as the setting of many of his works. Following “Sentimental Journey, Winter Journey,” a photo book of the time Araki spent with Yoko up until her death, and “Sentimental Journey, Spring Journey” which documents Chiro’s final days, “Sentimental Sky” is symbolic of yet another closing chapter to a love story in Araki’s life.