Paulo Nozolino : Solo

Ce portfolio se présente sous forme d'une chemise cartonnée avec rabats et le titre imprimé sur la couverture contenant 40 planches de photographies reproduites en noir et blanc.

This portfolio is presented in the form of a paperboard with flaps and the title printed on the cover containing 40 plates of photographs reproduced in black and white. Premier lauréat du Grand Prix Images Vevey en 1995, Paulo Nozolino sillonne depuis de nombreuses années les grandes villes d’Europe en interrogeant la place que l’individu y occupe, confronté à la fois à l’histoire et à la modernité.

The very first laureate of the Grand Prix Images Vevey 1995, Paulo Nozolino has been traveling across major European cities for many years, exploring the space of the individual confronted with both history and modernity. Like an urban travel diary, his project delivers a uniform and unique take on Berlin, Trieste, Venice, Lisbon, Vienna, Budapest, Madrid and Paris.

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Publié à l’occasion de l’exposition à l’Espace Kodak du Musée Suisse de l’appareil photographique à Vevey (Suisse) du 7 octobre au 28 octobre 1998.

À la manière d’un carnet de voyage urbain, son projet SOLO donne à voir Berlin, Trieste, Venise, Lisbonne, Vienne, Budapest, Madrid et Paris avec une unité de traitement singulière. Présenté à l’Espace Images, le travail du photographe éveille la curiosité du spectateur avec des tirages sombres, épurés et furtifs qui évoquent une sorte de série noire européenne.

Le projet de Paulo Nozolino présenté en 1995, lors de la première édition du Grand Prix de la Ville de Vevey, était de poursuivre sa quête en parcourant d’autres villes européennes et en regardant comment l’individu trouve ou non sa place dans un urbanisme confronté à l’histoire et à la modernité.
Le Jury saluait alors à l’unanimité dans le travail de Paulo Nozolino une recherche aboutie, menée avec d’immenses qualités de constance et d’originalité, méritant d’être portées à la connaissance d’un plus large public.
Il soulignait, sur le plan photographique, l’étonnante sensibilité à la lumière et l’unicité de la vision de son auteur. Sur le plan du discours, le Jury se plaisait à reconnaître le poids accordé par Paulo Nozolino à l’homme dans la cité, l’intérêt social et politique de sa talentueuse démarche ; introductions de JeanLoup Sieff et de Charles-Henri Favrod, photos en n.b.