Yoshio Mizoguchi : Obi and Sand ; Kyoto / Enoshima

Photographe Mizoguchi Yoshio
Exemplaire Signé / Signed Copy.

1ère édition tirée à 400 exemplaires / 1st edition of 400 copies.

Livre Épuisé / Out of Print Book.

Exemplaire Neuf / Copy New.

Photographié à Kyoto et Enoshima dans les années 1990 et 2000, "Obi and Sand" de Yoshio Mizoguchi présente des instantanés de femmes et d’étrangers sur fond de Kyoto et de l’air mystérieux de son histoire dans la première partie, et de l’océan Pacifique et des plages de sable d’Enoshima dans la seconde.

Shot in Kyoto and Enoshima in the 1990s and 2000s, Yoshio Mizoguchi's "Obi and Sand" presents snapshots of women and strangers against the backdrop of Kyoto and the mysterious air of its history in the first part, and the Pacific Ocean and sandy beaches of Enoshima in the second.

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Exemplaire Signé.

1ère édition tirée à 400 exemplaires.

Livre Épuisé. Exemplaire Neuf.

Yoshio  Mizoguchi est un maître de la photographie : ses clichés allient sans effort l’aspect documentaire de la photographie de rue à une légèreté d’être et à un regard ludique et sensuel.

« J’ai vu d’innombrables personnes en maillot de bain. Les pieds et les fesses étaient couverts de sable noir, et les corps étaient collés à la sueur – ces images me sont sautées dans les yeux par l’objectif de l’appareil photo. Le triste était brûlant — je passais d’une personne sur le sable à l’autre en leur parlant, mais je rencontrais rarement quelqu’un que j’aimais. Après l’an 2000, le monde est devenu terne et j’ai arrêté d’aller à Enoshima en été. Chaque année, la mer d’été s’efface tristement avec les souvenirs du sable chaud.» extrait de la postface de Yoshio Mizoguchi

Signed Copy.

1st edition of 400 copies.

Out of Print Book. Copy New.

Yoshio  Mizoguchi is a master of his craft: his snapshots effortlessly combine the documentary aspect of street photography with a lightness of being and a playful, erotic gaze.

“I saw countless people in bathing suits. Feet and buttocks covered in black sand, and bodies sticky with sweat—these sights jumped into my eyes through the camera lens. The sad was burning hot—I moved from one person to another on the sand as I spoke to them, but I rarely met anyone I liked. After the year 2000, the world got dull and I stopped going to Enoshima in the summer. Every year, the summer sea sadly fades away with memories of the hot sand.” ― from Yoshio Mizoguchi’s afterword