Self-Portraits de Yurie Nagashima publié par Dashwood Books retrace la vie de cette figure japonaise majeure sur une période de 24 ans, de 1992 à 2016 – de la jeune artiste effrontée à une représentation tendre de la grossesse et de la maternité. Comme l’écrit Marigold Warner dans son entretien avec Nagashima pour le British Journal of Photography « Reductively labelled a “girl photographer” in the 90s, Nagashima est maintenant une voix de premier plan dans le discours photographique féministe. La publication comprend une conversation avec Lesley A. Martin, de la Fondation Aperture, au cours de laquelle le commissaire et le photographe discutent du pouvoir de l’autoportrait en tant que geste féministe radical et de la nature changeante de la photographie et de son critère esthétique. » « Dans ce livre, j’ai séquencé les images chronologiquement, pour que vous puissiez voir le changement. Mes intérêts personnels ont également changé, et le vieillissement n’est qu’une autre cause. » Conception du livre par Charlotte de Mezamat, Interview par Lesley A. Martin, traduction par Akiko Ichikawa.
Self-Portraits by Yurie Nagashima published by Dashwood Books charts the life of this major Japanese figure over a period of 24 years from 1992-2016 – from brazen young artist to a tender portrayal of pregnancy and motherhood. As Marigold Warner writes in her interview with Nagashima for the British Journal of Photography “Reductively labelled a “girl photographer” in the 90s, Nagashima is now a leading voice in feminist photographic discourse. The publication includes a conversation with Aperture Foundation’s Lesley A. Martin, in which the curator and photographer engage in a discussion about the power of self-portraiture as a radical feminist gesture, and the shifting nature of photography and its aesthetic criterion.” “In this book, I sequenced the images chronologically, so you can see the change. My personal interests also changed, and aging, too, is just another cause.” Book design by Charlotte de Mezamat, Interview by Lesley A. Martin, translation by Akiko Ichikawa.
