Akaaka-sha

  • Yoshiyuki Okuyama : Flowers

    Yoshiyuki Okuyama a photographié « Flowers » dans la maison de sa défunte grand-mère, qui est maintenant utilisée comme studio par Okuyama. Prenant des photos de fleurs, de plantes et d’arbres éclairés par le soleil, Okuyama entame une conversation nostalgique et déchirante avec sa grand-mère décédée.

    Yoshiyuki Okuyama photographed “Flowers” in the house of his late grandmother, now used as a studio space by Okuyama. Photographing flowers, plants and trees lit by the sun, Okuyama enters into a nostalgic, heartrending conversation with his late grandmother.

    55,00
  • Harumichi Saito : Kando

    La suite tant attendue de Harumichi Saito, « Kando », est enfin arrivée.

    Harumichi Saito’s long-awaited sequel “Kando,” is finally here.

    Harumichi Saito, lauréat du prix New Cosmos of Photography, est l’un des plus remarquables jeunes photographes au Japon.

    Harumichi Saito, winner of the New Cosmos of Photography Award, is one of the most remarkable young photographers in Japan.

    48,00
  • Daido bro : My name is My name is…

    « My name is My name is… » est le fruit d’une collaboration entre les jumeaux Yuki et Koki Daido, nés et vivant à Osaka. En mélangeant librement leurs photographies sans attribution explicite, les expériences et œuvres des frères forment une série unique et cohérente. Tout au long du livre, les frères Daido utilisent la nature inartificielle et l’immédiateté de la photographie instantanée. Rafraîchissants, désarmants et sans prétention, leurs portraits de personnes (amis, famille et parfaits inconnus) et leurs moments inoffensifs semblent être des encapsulations crues de moments de leur vie.

    “My name is My name is…” is the result of a collaboration between the Yuki and Koki Daido, twins born and living in Osaka. By freely mixing their photographs without explicit attribution, the brothers’ experiences and artworks form a unique, cohesive series. Throughout the book, the Daido Brothers utilize the inartificial nature and immediacy of snapshot photography. Refreshingly disarming and unpretentious, their portraits of people (friends, family and complete strangers) and innocuous moments seem like raw encapsulations of moments in their lives.

    « Ce qui peut être une honte pour la plupart des gens, peut bien être une source d’inspiration immense pour les autres.

    Leurs images suscitent certainement l’émotion. Il n’est pas surprenant qu’ils tournent principalement sur film, leur philosophie de bricolage donnant un air urgent et convaincant à leur vision du monde. Nous sommes également attirés par leur style distinctif et le choix du sujet.” ― extrait de la postface de D.K.H.

    “What may be an eyesore to most, may well be a source of immense inspiration to others.

    Their images certainly evoke emotion. It is no surprise they mainly shoot on film, their DIY ethos lending an urgent and compelling air to their world view. We are also drawn to their distinctive style and choice of subject.” ― from D.K.H.’s afterword

    45,00
  • The Spirit of Avant-Garde Photography ; Transforming “Nothing Much”

    Publié à l’occasion de l’exposition au Shoto Museum of Art (Japon) du 2 décembre 2023 au 4 février 2024.

    Published on the occasion of the exhibition at Shoto Museum of Art (Japan) from December 2, 2023 to February 4, 2024.

    La fin de l’avant-garde et une étape au-delà.
    Cette exposition met l’accent sur un fil conducteur unique dans l’histoire de la photographie japonaise qui relie quatre personnes : le critique d’art TAKIGUCHI Shuzo (1903-1979), le peintre et photographe ABE Nobuya (1913-1971) et les photographes OTSUJI Kiyoji (1923–2001) et GOCHO Shigeo (1946–1983). Elle retrace l’histoire de l’esprit qui sous-tend la photographie, à commencer par la découverte par Takiguchi, à la fin des années 1930, de « la beauté cachée dans les plis profonds de la réalité quotidienne ».

    The end of the avant-garde, and a step beyond it.
    This exhibition focuses on a unique thread in the history of Japanese photography that links four individuals: art critic TAKIGUCHI Shuzo (1903–79), painter and photographer ABE Nobuya (1913–71), and photographers OTSUJI Kiyoji (1923–2001) and GOCHO Shigeo (1946–83). It traces the history of the spirit underpinning photography, starting with Takiguchi’s discovery in the late 1930s of the “beauty hidden in the deep folds of everyday reality.”

    Attention, tous les textes ne sont pas traduits en anglais.

    Please note that not all texts are translated into English.

    45,00
  • Jun Kanno : Planet Fukushim2

    « Planet Fukushima » de Jun Kanno est un enregistrement en deux parties des dix dernières années de vie dans la ville de Date, dans la préfecture de Fukushima.

    Jun Kanno’s “Planet Fukushima” is a two-part record of the past ten years of life in Kanno’s home of Date City in Fukushima Prefecture.

    75,00
  • Akiyoshi Taniguchi : On Representational Emptiness

    Kusho 空 象 est un néologisme inventé par Akiyoshi Taniguchi, composé des caractères 空 qui dans le contexte bouddhiste connote le vide, et 象 signifiant forme; forme; phénomène. Ensemble, le composé à deux caractères signifie que toutes les représentations sont vides. Les représentations qui sont reconnues comme “vues” ou les objets qui sont des “choses vues” sont simplement reconnues par l’esprit comme telles et ne sont pas des images réelles ni substantielles. Les photographies sont chargées de substance et discutées de cette manière, mais ne sont en réalité que de simples images virtuelles. Cependant, beaucoup d’œuvres photographiques d’aujourd’hui sont trop confiantes dans leur matérialité. Si cent personnes voient une pomme, elle devient cent pommes.

    Si cent personnes voient une pomme, elle devient cent pommes.

    Kusho 空象 is a neologism coined by Akiyoshi Taniguchi made up of the characters 空 which in the Buddhist context connotes Emptiness, and 象 meaning form; shape; phenomenon. Joined together, the two-character compound means that all representations are Empty. Representations that are recognized to be “seen” or objects that are “seen things” are merely recognized by the mind as such and are not real images nor substantive. Photographs are entrusted with substance and discussed in such a manner but are in actuality, nothing more than mere virtual images. However, many of today’s photographic works are overconfident in their materiality.

    If one hundred people see one apple, it becomes one hundred apples.

    40,00
  • Masashi Asada : Asadake

    Né à Mie (Japon) en 1979, Masashi Asada est le photographe qui a inspiré le film La Famille Asada (2022) dont on retrouve l’univers dans cet album photo.

    Born in Mie (Japan) in 1979, Masashi Asada is the photographer who inspired the film The Asada Family (2022) whose universe can be found in this photo album.

  • Ryuchi Ishikawa : ZK

    Le titre est un symbole codé pour une vue spectaculaire (« zekkei » en japonais) et pour la vague d’émotion qui inonde tout le corps lorsque nous rencontrons certaines vues amorphes. Selon Ryuichi Ishikawa, cela signifie la relation entre le paysage et l’émotion, entre l’extérieur et l’intérieur. Avec sa variété kaléidoscopique de sujets, de scènes, de vues, d’angles et de couleurs, le « zk » est plein d’instantanés de la réalité chargés d’émotions, d’idées, de compassion et de la présence presque palpable de ses sujets. Avec des images prises dans tout le Japon, mais principalement dans sa maison d’Okinawa, entre 2012 et 2019, Ishikawa utilise la distance temporelle pour composer une vue grandiose de la vie en quelques instants.

    The title is a coded symbol for a spectacular view (‘zekkei’ in Japanese) and for the surge of emotion that floods the entire body when we encounter certain amorphous views. According to Ryuichi Ishikawa, it signifies the relationship between landscape and emotion, between outside and inside. With its kaleidoscopic variety of subjects, scenes, views, angles and colours, ‘zk’ is full of snapshots of reality that are loaded with emotions, ideas, compassion, and the almost palpable presence of his subjects. With images shot all over Japan, but mainly in his home of Okinawa, between 2012 and 2019, Ishikawa uses temporal distance to compose a grand view of life in single moments.

    70,00
  • Noguchi Rika : Small Miracles

    Publié avec 2 couvertures différentes / Publié with 2 differents covers.

    Nous avons la couverture B / We have the cover B.

    Le travail de Rika Noguchi est guidé par le pouvoir miraculeux de la photographie pour inspirer et guider sa curiosité. Publié à l’occasion de son exposition personnelle au Tokyo Photographic Museum, ‘Small Miracles’ présente sa série passée et récente, documente l’exposition et contextualise son travail à travers des essais et des informations personnelles.

    Rika Noguchi’s work is driven by the miraculous power of photography to inspire and guide her curiosity. Published on occasion of her solo exhibition at the Tokyo Photographic Museum, ‘Small Miracles’ introduces her past and recent series, documents the exhibition, and contextualises her work through essays and personal information.

  • Hisae Imai

    Hisae Imai (1931-2009) était une photographe non conventionnelle.

    Hisae Imai (1931–2009) was an unconventional photographer.

    Sa première exposition personnelle en 1956 attire énormément l’attention, après quoi elle poursuit ses instincts artistiques tout en s’attaquant à la mode et aux projets commerciaux.

    Her first solo exhibition in 1956 drew tremendous attention, after which she continued to pursue her artistic instincts while also taking on fashion and commercial projects.

  • Masahisa Fukase : Retrospective 1961-1991

    La magie de l’œuvre de Masahisa Fukase dans un seul livre.

    Ce livre “Masahisa Fukase 1961-1991 Retrospective” présente un assemblage important de photographies, y compris des œuvres majeures de Masahisa Fukase, telles que “Yūgi (Homo Ludence)”, “Yōko”, “Karasu (Ravens)”, “Sasuke”, “Kazoku (Famille)”, et “Bukubuku”.

    The magic of Masahisa Fukase’s lifework in a single book.

    This book “Masahisa Fukase 1961-1991 Retrospective” boasts a substantial assemblage of works, including major Fukase works, such as “Yūgi (Homo Ludence)”, “Yōko”, “Karasu (Ravens)”, “Sasuke”, “Kazoku (Family)”, and “Bukubuku”.

  • Yoshiyuki Okuyama : Windows

    D’aussi loin que je me souvienne, chaque fois que je me promenais, je regardais les fenêtres des maisons et je prenais toujours plaisir à imaginer ce que c’était que d’y vivre, quel genre de personnes y vivaient, comment se sentaient-elles dans leur vie quotidienne.

    From as far back as I can remember, whenever I went for a walk I would look at the windows of homes and always enjoy imagining what it was like living there, what kind of people lived there, how did they feel in living their everyday life.

  • RongRong&inri : Symposiom ; About Love, 1996-2000

    Le livre photo « Symposion About Love 1996-2000 » se compose d’œuvres de quatre séries différentes, créées par inri entre 1996 et 2000, avant la rencontre fatidique d’inri avec RongRong, son mari et l’autre partie du duo d’artistes influents RongRong&inri.

    The photobook “Symposion About Love 1996-2000” consists of works from four different series, created by inri between 1996 and 2000, before inri’s fateful meeting with RongRong, her now-husband and the other part of the influential artist duo RongRong&inri.

  • Maki Umaba : We are here

    Publié avec 3 couvertures différentes / Published with 3 different covers.

    Lors de la première interaction avec We Are Here, de Maki Umaba, le spectateur peut être perplexe.

    Upon first encounter with Maki Umaba’s We Are Here a viewer may be puzzled.

    65,00
  • Yoshiyuki Okuyama : Windows (Special Edition)

    Exemplaire Signé / Signed Copy.

    1ère édition Spéciale Limitée à 500 exemplaires.

    1st Special Edition Limited on 500 copies.

  • Lily Night : Abscura

    L’œuvre “ABSCURA” de Lily Night, dont le titre est une combinaison de “abstrait” et de “obscura”. C’est aussi l’origine de la pensée et de la création de l’artiste.

    The work “ABSCURA” by Lily Night, the title of which is a combination of “abstract” and “obscura”. It is also the origin of the artist’s thinking and creation.

    57,00
  • Risaku Suzuki : Winter to Spring

    Publié avec 2 couvertures différentes / Published with 2 differents covers.

    Il se peut que créer quelque chose, c’est attirer la ‘vie’ hors du monde. La peinture, la sculpture, la performance, le cinéma, la musique, l’écriture et bien d’autres formes d’expression ont toutes une chose en commun : ce sont des réponses à la “vie” que l’artiste a rencontrées et qui l’ont ému.

    It may be that to create something is to draw ‘life’ out of the world. Painting, sculpture, performance, film, music, writing, and many other forms of expression all share one thing in common: they are responses to “life” that the artist encountered and was moved by.

  • Kazuma Saeki : Hanabi-Kei / Views of Fireworks

    La beauté insaisissable des feux d’artifice, capturés dans le temps.

    The elusive beauty of fireworks, captured in time.

    40,00
  • Kikuji Kawada : Vortex

    Fort de 544 pages, le « Vortex » de Kikuji Kawada est constitué d’images choisies parmi la grande quantité d’œuvres téléchargées par Kawada, 89 ans, sur son compte Instagram au cours des dernières années.

    544 pages strong, Kikuji Kawada’s “Vortex” consists of images selected from the vast amount of works uploaded by the 89-year old Kawada to his Instagram account in the past years.

  • Ryu Ika : The Second Seeing

    Ryu Ika, lauréat du Grand Prix du 21e concours de photographie 1_WALL en 2019, présente une expérience énergique, presque comique. Avec chaque nouvelle page, nous nous engageons avec une variété de personnages et de sujets avec un mélange d’humour et d’inconfort. De beaux moments alternent avec des vues désagréables mais inoubliables, et des éléments de décomposition – corps, membranes, fluides, sueurs, sang, animaux morts – entrent en contact avec la vivacité du monde.

    Ika, originaire de Mongolie intérieure, lie des fragments de réalité non pas nécessairement dans le but de former une image plus grande, mais motivé par l’envie de transformer les photographies en œuvres d’art à travers sa propre conscience et expériences.

    Ryu Ika, Grand Prix winner of the 21st 1_WALL photography competition in 2019, presents an energetic, almost comic book-like experience. With each new page, we engage with a variety of characters and subjects with a mixture of humor and discomfort. Beautiful moments alternate with unpleasant yet unforgettable sights, and elements of decay – bodies, membranes, fluids, sweat, blood, dead animals – come into contact with the vividness of the world.

    Ika, originally from Inner Mongolia, binds together fragments of reality not necessarily with the aim of forming a larger picture but driven by the urge of turning photographs into works of arts through her own consciousness and experiences.