1ère édition tirée à 750 exemplaires.
Les médias traditionnels ont sensationalisé la violence à des fins lucratives, transformant le photojournalisme en une industrie compétitive, transformant la tragédie en marchandise. Le travail d’Adél Koleszár se distingue en se concentrant sur les paysages, les individus résilients et une évolution stylistique. Elle juxtapose les infrastructures négligées avec la générosité de la nature, capturant le coût humain à travers des témoignages plutôt que des images graphiques.
L’immersion d’Adél Koleszár dans la culture mexicaine a transformé son approche, lui permettant de plonger profondément dans les complexités de la violence, remodelant sa perspective. Son projet, créé à Veracruz, sert de réflexion poignante sur les effets considérables de l’exploitation systémique sous le capitalisme ; texte de Kurt Hollander, photos en couleurs.
1st edition of 750 copies.
Mainstream media sensationalized violence for profit, turning photojournalism into a competitive industry, commodifying tragedy. Adél Koleszár’s work stands apart by focusing on landscapes, resilient individuals, and a stylistic evolution. She juxtaposes neglected infrastructure with nature’s bounty, capturing the human cost through testimonies rather than graphic imagery.
Adél Koleszár’s immersion in Mexico’s culture transformed her approach, allowing her to delve deeply into the complexities of violence, reshaping her perspective. Her project, created in Veracruz, serves as a poignant reflection on the far-reaching effects of systemic exploitation under capitalism ; text by Kurt Hollander.























