1ère édition tirée à 750 exemplaires.
« J’ai découvert comment les cours d’eau de la ville environnante exposaient la terre à un état de vulnérabilité constant. Le paysage physique est parallèle à un paysage émotionnel enraciné dans la culture de la Nouvelle-Orléans et de ses habitants.
Faire des photos dans cet endroit n’était pas en dehors de la douleur de perdre ma mère ou la joie et la chevauchée sauvage d’être un, plutôt il était au-delà. C’est un endroit tranquille pour se reposer et ressentir la perte qui fait couler le cœur et ce qui se trouve le long du chemin. » -Adrianna Ault
Adrianna Ault a commencé à photographier en 2017 et les images finales de ce nouveau livre ont été réalisées en 2022. En plus de photographies du paysage de la Nouvelle-Orléans et de la vallée de l’Hudson, elle a photographié ses enfants et le dernier voyage en voiture de sa mère de Rhinebeck, NY à la maison de sa mère à la Nouvelle-Orléans (Louisiane). L’acte de faire des photographies a permis à Adrianna Ault de voir et de traiter le monde d’une manière différente, avec calme et lenteur, et c’est là qu’elle a trouvé refuge.
1st edition of 750 copies.
“I discovered how the surrounding city’s waterways exposed the land to a constant state of vulnerability. The physical landscape is parallel to an emotional landscape rooted within the culture of New Orleans and its people.
Making pictures in this place was not outside of the pain of losing my mother or the joy and wild ride of being one, rather it was beyond it. It is a quiet place to rest and feel the heart-sinking loss and what is found along the way.” -Adrianna Ault
Adrianna Ault began photographing in 2017 and the final images in this new book were made in 2022. Alongside photographs of the landscape of New Orleans and the Hudson Valley, she photographed her children, and her mother’s final car journey from Rhinebeck, NY to her mother’s home in New Orleans, LA. The act of making photographs allowed Adrianna Ault to see and process the world in a different way, with a quietness and slowness—and in this she found sanctuary.