Dans ce livre, Antoine d’Agata pousse la photographie dans ses retranchements, se défait du médium pour revenir au brut. Les textes de Charles Baudelaire dialoguent dès lors avec des photographies devenues gravures par l’usure, la manipulation, où les corps se mélangent pour laisser place à la poésie du corps.
Pour Charles Baudelaire, le medium photographique ne sera longtemps pas un art mais un simple moyen technique de représentation du réel. Comme un contrepied à Baudelaire, d’Agata retravaille ici ses propres photographies par l’intervention digitale pour retourner à la gravure, comme pour passer du pixel au trait de l’époque ; 1ère édition tirée à 2 000 exemplaires, photos en n.b.
Antoine d’Agata : Fleurs du mal
Dans ce livre, Antoine d’Agata pousse la photographie dans ses retranchements, se défait du médium pour revenir au brut. Les textes de Charles Baudelaire dialoguent dès lors avec des photographies devenues gravures par l’usure, la manipulation, où les corps se mélangent pour laisser place à la poésie du corps. Pour Charles Baudelaire, le medium photographique […]Lire la suite
Poids | 300 g |
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Dimensions | 16,5 × 22 cm |
Auteur(s) | |
Date d'édition | |
EAN | 9791092727319 |
Editeur | |
Photographe | |
Spécifité | |
Ville | |
ISBN | 9791092727319 |
Langue(s) | français |
Nombre de pages | 226 |
Reliure | Relié |