Benedetta Ristori : You don’t need soil to grow

Photographe Ristori Benedetta
1ère édition tirée à 600 exemplaires / 1st edition of 600 copies.

Berlin est une ville caractérisée par sa population internationale et son embourgeoisement. Inspirée par le concept de « modernité liquide » de la sociologue Zygmunt Bauman, Benedetta Ristori (IT) examine comment la société contemporaine est définie par le changement et l’incertitude, et montre comment les individus, en particulier les femmes expatriées, trouvent leur identité et leur sentiment d’appartenance dans un contexte préTissu urbain existant. À travers des portraits intimes réalisés dans des espaces urbains rigides, Ristori capture la tension entre la liberté de ces femmes de se réinventer et leur connexion passagère avec la ville. En parallèle, le projet de Ristori met également l’accent sur les (petits jardins), qui offrent un refuge dans le monde urbain. Avec 'You don’t need soil to grow', Ristori s’interroge sur ce que signifie appartenir à une époque où la seule constante est le changement.

Berlin is a city characterised by its international population and gentrification. Inspired by sociologist Zygmunt Bauman’s concept of ‘liquid modernity’, Benedetta Ristori (IT) examines how contemporary society is defined by change and uncertainty, and shows how individuals, particularly expatriate women, find their identity and sense of belonging in a pre-existing urban fabric. Through intimate portraits taken in rigid urban spaces, Ristori captures the tension between these women’s freedom to reinvent themselves and their fleeting connection to the city. In parallel, Ristori’s project also focuses on the German Kleingärten (small gardens), which provide a refuge within the urban world. With 'You don’t need soil to grow', Ristori questions what it means to belong in an age where the only constant is change.

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1ère édition tirée à 600 exemplaires / 1st edition of 600 copies.

Vous n’avez pas besoin de sol pour pousser montre comment les individus, en particulier les femmes expatriées, trouvent leur identité et leur sentiment d’appartenance dans un tissu urbain préexistant. À travers des portraits intimes réalisés dans des espaces urbains rigides, Ristori capture la tension entre la liberté de ces femmes de se réinventer et leur connexion passagère avec la ville. Malgré les différences dans leurs histoires et leurs motivations, un fil conducteur est le courage de prendre des risques et la capacité de faire face aux défis seul.

En parallèle, le projet de Ristori se concentre également sur les Kleingärten (petits jardins) allemands, qui offrent un refuge dans le monde urbain. Ces espaces verts communaux, disséminés dans tout Berlin, représentent la stabilité et permettent à l’individu de se reconnecter avec la terre.

Ristori invite le lecteur à réfléchir sur sa propre relation avec les lieux qu’il habite. Le titre du livre, inspiré par les plantes qui prospèrent dans des environnements en béton, met en lumière le thème du projet : vivre sans fondement fixe, à l’image des femmes représentées sur ses photographies.

You don’t need soil to grow shows how individuals, particularly expatriate women, find their identity and sense of belonging in a pre-existing urban fabric. Through intimate portraits taken in rigid urban spaces, Ristori captures the tension between these women’s freedom to reinvent themselves and their fleeting connection to the city. Despite the differences in their stories and motivations, a common thread is the courage to take risks and the ability to face challenges alone.

In parallel, Ristori’s project also focuses on the German Kleingärten (small gardens), which provide a refuge within the urban world. These communal green spaces, scattered throughout Berlin, represent stability and allow the individual to reconnect with the earth.

Ristori invites the reader to reflect on their own relationship with the places they inhabit. The title of the book, inspired by plants that thrive in concrete environments, highlights the theme of the project: living without a fixed foundation, much like the women portrayed in her photographs.

With You don’t need soil to grow, Ristori questions what it means to belong in an age where the only constant is change.