Les objets et les situations que dépeint par Bertrand Cavalier sont souvent reconnaissables et ordinaires : d’une table en plastique à un mur de briques tacheté de peinture ou à la corde à sauter d’une fille. Le zoom complet utilisé par Cavalier révèle — à peu près de la même façon que sa présentation des photographies comme le font les impressions laser monochromes — la structure inhérente de ses sujets et comment, en tant qu’« objets étrangers », ils rompent avec l’ordre original. Cavalier met ainsi l’accent sur les divers aspects de l’urbanisme, dont l’imprévu, le « contretemps », qu’il qualifie de qualité permettant un usage subjectif et personnel des villes dans lesquelles nous vivons.
The objects and situations that Bertrand Cavalier portrays are often recognizable and ordinary: from a plastic table to a brick wall blotched with paint or a girl’s skipping rope. The full zoom used by Cavalier reveals—in much the same way as his presentation of the photographs as monochrome laser prints does—the inherent structure of his subjects and how, as “foreign objects”, they break with the original order. In this way, Cavalier emphasizes the various aspects of urban planning, including among them the unintentional, the “mishap”, which he characterizes as a quality that allows room for a subjective and personal use of the cities in which we live.