Pour la plupart des gens, Cape Cod concerne les vacances d’été au bord de la mer. Des journées ensoleillées à la plage, des éclaboussures dans l’océan et tout simplement paresseux. Mais l’été est court. En septembre et octobre, il y a un exode massif. Les touristes sont rentrés chez eux. Les chalets sont enfermés. Motels, restaurants et cabanes à palourdes fermés pour la saison. Et le littoral est frappé par de puissantes tempêtes hivernales. C’est calme, solitaire et brut. Avec son appareil photo grand format, le photographe Brian Kaplan, basé à Boston, se concentre sur cet autre aspect de la vie au Cap. Ses portraits de travailleurs saisonniers, de paysages désertiques et de natures mortes narratives nous donnent un aperçu unique de ce lieu fascinant et de ses univers multiples et contrastés ; textes de Brian Kaplan, Richard Russo et Henry David Thoreau.
Kaplan a développé sa passion pour la photographie tout en travaillant pour Stan Grossfeld au Boston Globe. Il a été président du conseil d’administration du Griffin Museum of Photography.
For most people, Cape Cod is about summer vacations by the sea. Sun-drenched days at the beach, splashing in the ocean, and just being lazy. But, summer is short. By September and October, there is a mass exodus. The tourists have gone home. Cottages are boarded up. Motels, restaurants and clam shacks shut down for the season. And, the coastline is pummeled by powerful winter storms. It is quiet, lonely, and raw. With his large format camera, Boston-based photographer Brian Kaplan focuses on this other side of life on the Cape. His portraits of seasonal workers, deserted landscapes, and narrative still lifes give us a unique insight into this fascinating place and its multiple, contrasting worlds.
Kaplan developed his passion for photography while working for Stan Grossfeld at The Boston Globe. He served as the President of the Board of Directors of the Griffin Museum of Photography.
